1. Marie en novembre


    Datte: 20/03/2018, Catégories: Hardcore, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Ce soir-là, Marie s’était connectée seule au dialogue en direct du site libertin que nous fréquentions depuis trois mois. J’allais prévu de la rejoindre, mais je devais auparavant finir d’écrire un article. A un moment donné, elle est venue me voir dans mon bureau et m’a dit :
    
    « J’ai peut-être trouvé un plan pour ce soir. »
    
    « Raconte », dis-je.
    
    « Je suis en train de papoter avec un mec qui a l’habitude de mater des exhibitionnistes au jardin botanique. Je lui ai parlé de nos trips et il suggère qu’on y aille. »
    
    « Avec le froid qu’il fait ? »
    
    Elle haussa l’épaule et répondit :
    
    « On aura qu’à se couvrir. Ça me dit bien d’essayer. Mais si tu préfères, je peux y aller toute seule. »
    
    Nous étions mi-novembre et une vague de froid précoce traversait le pays. Chez nous, il était prévu que les températures descendent en-dessous de zéro dans la nuit. La perspective d’un plan cul en extérieur ne me motivait pas beaucoup.
    
    J’ai soupiré et répondu :
    
    « Tu lui as dit quoi au juste, au mec ? »
    
    « Qu’on était très ouverts et qu’on aimait jouer. »
    
    « Et tu as quoi en tête ? » dis-je en enregistrant mon fichier.
    
    « Ben, un peu comme d’habitude : on est en couple et on se promène de nuit dans le jardin. Puis un mec nous aborde pour nous demander un truc. On papote, etc. »
    
    « Quel âge il a ? »
    
    « Cinquante-trois. Il s’exprime plutôt bien et il a l’air cool. »
    
    « Bon, ok, dis-je. Mais on n’y reste pas deux heures. »
    
    « Chouette ! » dit Marie en sortant de ...
    ... mon bureau.
    
    Vingt minutes plus tard, on était dans la rue. Le jardin se trouvait à un petit quart d’heure de marche. Il était 21h et des poussières. Marie portait son manteau gris et blanc, imitation fourrure de je ne sais quel a****l polaire. Ses bottes en daim noir et un collant noir en laine. Dessous, on voyait le col roulé de son pull bleu ciel acrylique, et c’était tout. J’ignorais le reste. Je l’avais laissée se changer dans ma chambre sans la déranger.
    
    Il faisait froid, mais j’aimais que Marie me surprenne.
    
    Parvenus au jardin, on a franchi un petit muret et pris une allée bordée de lampadaires encore allumés à cette heure-ci. Marie m’a pris par le bras. Il n’y avait pas une seule silhouette en vue parmi les arbres et les bosquets. Marie avait fixé un lieu de rendez-vous avec le mec, mais j’ignorais où c’était. Je l’ai suivie. Tout ce que je savais, c’est qu’il allait nous croiser à un moment donné et qu’on entrerait directement dans le jeu, sans faire les présentations.
    
    Et c’est ce qui se passa.
    
    On le vit venir vers nous dans une allée étroite et bordée de buissons de plantes caduques, puis il s’arrêta et dit :
    
    « Bonsoir. »
    
    On lui a répondu et on s’est arrêtés à notre tour.
    
    « Seriez-vous Amélie et Marc ? » dit-il.
    
    « Ah non, désolé », répondis-je.
    
    « Mince, fit l’homme en regardant autour de lui. J’avais rendez-vous avec eux, mais ils ont dû trouver qu’il faisait trop froid pour mettre le nez dehors… »
    
    « Drôles d’endroit et d’heure pour un ...
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