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Un bien joli secret (2) : étreintes urbaines 2
Datte: 30/11/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Reveevasion, Source: Hds
... viennent se poser sur mes seins et me libèrent d'une attente insupportable. Je sens mes nichons gonfler sous les doigts pressés. Je soupire d'aise lorsque sa bouche libère la mienne m'offrant un exutoire pour laisser mes gémissements s'exprimer enfin. C'est alors que je réalise que mes tétons laissent échapper un résidu de lait et qu'il les lèche comme un petit chat. Je renonce bien vite à penser à mon bébé qui lui ne tète plus depuis quelques jours et je découvre qu'avec les succions de ce sexagénaire je ne suis plus mère mais femme. Une femme qui va jouir… Une femme qui jouit… Une femme qui jouit enfin ! L'explosion de mon corps m'arrache un profond gémissement et soudain je me retrouve à ses pieds, complètement hagarde. Je réalise alors le danger que représente cette situation. je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche qu'Albert m'attire sous l'escalier, sans que j'ai ni la force ni la volonté de l'en empêcher. Je suis alors projetée contre le mur et je sens son corps me presser, faisant renaître aussitôt mon désir. Maintenant je sais que je le veux en moi. Je l'entends déboutonner sa braguette et j'en frémis d'aise. Cette fois je me sens prête. Mon âme a rejoint ma chair qui réclame l'estocade. Je ne suis plus qu'une femelle attendant la saillie. Il me retourne contre le mur où mon corps s'écrase tandis que je sens derrière moi sa force avide. Cette impression de sauvagerie est confirmée par sa bouche qui me mord plus qu'elle n'embrasse la peau fine de mon cou. Ses ...
... mains m'empoignent les seins sans précaution et me pétrissent lorsque je sens son sexe dur et tendu qui me cherche. Je regrette quand ses doigts après avoir pincé mes tétons jusqu'à la douleur les abandonnent pour retrousser ma robe. Les mains reprennent leur besogne sur mes fesses cette fois qu'elles empaument et là, enfin, je sens le gland nu et gourmand qui se pose sur mes chairs. Je me tortille en le sentant appuyer sur le bas de mes reins puis s'agacer sur l'élastique de mes collants avant de fureter sur chacune de mes fesses. Lorsqu'il glisse sa bite entre mes cuisses je deviens folle de désir, il me la fait chevaucher en la coulissant comme s'il ne voulait pas franchir la barrière de nylon. Je n'en peux plus. Je le veux en moi. Cela devient intenable lorsqu'il la ressort de l'étau de mes cuisses pour l'appuyer sur le nylon tendu contre ma raie culière avec une volonté de le transpercer. Pressée de me faire pénétrer enfin, j'ose lui proposer de quitter mes collants. Il me répond d'un grognement sauvage et d'un geste brutal il déchire ma seule protection. Je me sens alors retournée et je découvre ses yeux injectés de sang, sa bouche déformée par l'effort, sa bite indécente et affamée qui me guette. Il me saisit aux hanches et m'assied sur un vieux coffre où sont entreposés les ustensiles de ménage. Relevant mes jambes, il les soulève jusqu'à ce que mes pieds reposent sur ses épaules. Je suis totalement à sa merci dans cette position inconfortable. Je n'ai pas le temps d'en ...