1. La cérémonie


    Datte: 29/11/2019, Catégories: fh, fffh, frousses, pénétratio, Humour sorcelleri, québec, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... trouvai les filles magnifiques, mais sans plus. Je ne ressentais toujours rien, aucun désir, et là, cinq femmes arrivèrent par l’escalier ; haïtiennes aussi, sûrement, déjà nues, le visage peint pour moitié blanc et pour moitié noir. Toutes étaient dans le même style que la tante et à peu près du même âge, quarante ou cinquante ans, dans ces eaux-là. De pures merveilles de rondeurs qui prirent place sur les chaises, mains sur les genoux sans dire un mot. Elles avaient toutes des toisons pubiennes en triangle et frisées, de beaux ventres ronds sur lesquels pendaient des poitrines plus que généreuses et elles portaient toutes des gris-gris.
    
    Normalement une telle vision m’aurait fait bander à mort, sans parler de Pierrette, si pâle qu’elle se démarquait de ces femmes tout autant qu’une tache blanche sur la tête d’un chat noir. Ses seins avaient pas mal grossi depuis la dernière fois que je l’avais vue, ses jolies fesses également et elle avait plus de hanches. Elle aussi se régalait du spectacle de cette ode à la rondeur, je le voyais bien dans ses petits yeux luisants tandis qu’elle examinait les autres femmes.
    
    — Paul, installez-vous debout au milieu du cercle, ordonna Maima, mais allez-y sur la pointe des pieds. Il ne faut pas défaire le vèvè tout de suite. Vous… eh… madame…
    — Pierrette.
    — Madame Pierrette, venez.
    
    Elle la prit par la main pour l’emmener près de la table.
    
    Une fois dans le cercle, Homer fit son effet, j’entendis des rires et des murmures. Je ...
    ... tournai sur moi-même pour qu’elles voient toutes mon tatouage de fesse, mais Maima ramena ses ouailles à l’ordre et en créole.
    
    — Pe, si yo pa bondye yo p’ap reponn t’te mwen lapriyè.
    
    Gros soupir des dames, celle juste devant moi fixait, tête penchée, mon petit moineau reposant sur mes couilles sans poils tout comme mon torse et mes jambes d’ailleurs. Les femmes étaient magnifiques à la lueur des chandelles, leur peau chocolatée reluisait joliment, moi qui adorais les rondeurs, là j’en avais plein les yeux.
    
    La tante Maima prit un pot, y trempa son index qui en ressortit couvert de liquide noir et se mit à dessiner des signes complexes sur le corps de Pierrette qui releva ses longs cheveux roux pour les attacher habilement en chignon en faisant un nœud.
    
    — C’est pour vous protéger des mauvais démons, lui expliqua-t-elle, ils aiment bien posséder des petites blanches comme vous à la toison de feu. La teinture est à base de henné, elle s’effacera dans quelques jours.
    
    Maima peignit le dos puis les fesses qu’elle écarta ensuite avec un pouce pour recouvrir l’anus de cette mixture. Pierrette plissa la bouche en écarquillant les yeux, visiblement elle ne s’attendait pas à des attouchements aussi intimes. Puis la mambo continua sur le devant des cuisses ; le ventre rebondi, les seins tombants puis se mit à faire des cercles autour des mamelons avant de colorer ceux-ci en noir. Sous la pression du doigt, ils gonflèrent à l’extrême et se couvrirent d’une grosse chair de ...
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