1. Rupture


    Datte: 28/11/2019, Catégories: fh, 69, pénétratio, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... indique à tous qu’elle a réussi son challenge. Désormais, le soir ils partent ensemble vers le studio féminin. En parfaite maîtresse de maison elle lui prépare des petits plats délicieux. Mais après le repas, il ne tente pas de profiter des avantages de sa compagne. De son coté, Catherine ne cherche que rarement à concrétiser son amour. Et c’est de la manière la plus classique, sans prendre aucun plaisir, la présence de Robert suffit à son bonheur. Après le repas, il rentre souvent chez lui, prétextant le besoin de vêtements.
    
    Ils vivent ainsi, à la vue de tous : c’est un couple normal.
    
    Quatre mois ont passé, Robert vient tous les soirs. Pourtant, le voyant de plus en plus distant, désirant le garder auprès d’elle, elle s’offre un jour, dans une nuisette très affriolante. N’ayant pas fait l’amour depuis plusieurs jours, Robert accepte de l’honorer.
    
    Il l’a voulue nue, elle a protesté, mais finalement cédé, se glissant rapidement dans les draps. Il n’a pas éteint la lampe, l’a découverte, puis lui écartant les jambes, a voulu goûter à ce sexe qu’il n’avait jamais vu jusqu’à présent.
    
    — Non, Robert, c’est sale, ça ne se fait pas !
    — Mais si, tu verras, tu vas ressentir un plaisir inouï.
    — Non, je ne veux pas.
    — Alors tchao. Et il fait mine de se rhabiller.
    — Bon, pour cette fois ça va, mais je n’aime pas.
    
    Consciencieusement il tente de débloquer sa partenaire. Mais elle est tellement crispée qu’il n’y parvient pas. Écœuré, il remonte vers elle, veut ...
    ... l’embrasser, mais elle refuse énergiquement :
    
    — Tu es sale, va te laver les dents.
    
    Fou de rage il lui dit,
    
    — Si tu n’aime pas ça, alors toi, fait moi au moins une pipe.
    — Une quoi ?
    — Une pipe, suce-moi la bite !
    
    Elle s’est redressée d’un bond, est partie s’enfermer dans la salle de bain. Robert est partagé entre deux sentiments contraires : le dépit de n’avoir pu se soulager, le fait d’être débarrassé de sa compagne.
    
    En effet, leur couple s’est disloqué. Toutefois, avant de la quitter définitivement, il a tenu à se justifier :
    
    — Catherine, je t’aime bien, mais en tant que copine, amie. Tu es gentille, serviable, mais nous ne sommes pas fait l’un pour l’autre. Tu n’as jamais connu de garçon, moi je suis un coureur impénitent. Tu feras une parfaite épouse et mère de famille, mais pas avec moi.
    — Pourtant tu étais avec une femme, tu devais l’aimer à voir ta mine catastrophée lorsqu’elle t’a quitté.
    — Oui, nous nous aimions. Et sur le plan sexuel, nous avions des pratiques dont je n’ose même pas te parler. Elle est partie, mais si elle revient, ou simplement si un jour, je trouve une autre compagne qui soit une véritable maîtresse, je me marierai sûrement.
    — Une pute, tu veux dire.
    — Non, tu ne connais rien à la vie. Parle avec tes copines, si tu en as, lis des livres… cochons comme on dit, je t’en passerais si tu veux, tu apprendras ce qu’est la vraie vie.
    
    Depuis cette discussion, leurs rapports on changé. Ils ne vivent plus ensemble, mais sont restés amis. ...
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