Tout ça pour une chambre !
Datte: 27/11/2019,
Catégories:
fh,
vacances,
amour,
miroir,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
pénétratio,
Auteur: Poterne, Source: Revebebe
... Heureusement que j’ai un short et non un maillot de bain moulant…
Une fois le deux-pièces enfilé, elle se retourne vers nous en tremblant car elle a toujours froid. Géraldine la complimente :
— Mon maillot te va super bien !
Il faut dire qu’il est très petit, ce bikini. Catherine se retourne et m’agresse presque :
— Frank, tu ne vois pas qu’elle à froid ? Ne reste pas coincé comme un imbécile ; réchauffe-la, ta fiancée !
— Et embrassez-vous, putain ! renchérit Géraldine.
Géraldine ne paye rien pour attendre ! Je me lève, mais Colombe, voyant mon embarras, se précipite, se colle contre moi, croise les bras autour de mon cou et m’embrasse sur la bouche comme au cinéma ! Éberlué, je reste presque immobile. Je sens une main se glisser dans le bas de mon dos pour attirer mon corps contre le sien ; elle doit bien sentir mon érection ! Je sens son corps frais conte le mien. La pointe de ses seins protégés seulement par un mince tissu s’écrasent contre ma poitrine. Mes mains se crispent sur la peau froide de son dos : elle a la chair poule. Pareillement, je la serre contre moi. J’oublie tout et ouvre la bouche pour sentir sa langue toucher la mienne et laisser nos dents s’entrechoquer.
— Bon. Eh bien voilà qui est mieux, mon frère ! me dit Catherine. Maintenant on se calme…
J’attrape la serviette que j’enroule autour de Colombe et m’allonge sur mon drap de bain à côté d’elle.
— Catherine, tu n’es qu’une jalouse !
— Et toi un gland, si je peux me ...
... permettre.
* * *
En fin d’après-midi nous nous retrouvons, Colombe et moi, dans notre chambre. Nous n’avons pratiquement pas échangé un seul mot. On est super gênés. Je lui ai fait signe qu’elle pouvait passer à la douche la première.
En sortant du cabinet de toilette, vêtue d’un grand pull qui lui arrive au bas des fesses, elle attrape ses lunettes et s’assied sur le lit en allongeant ses jambes. Le pull remontant un peu, je distingue une petite culotte blanche. Elle me fixe avec son drôle de regard. Je vois qu’elle hésite à me parler. J’anticipe en lui demandant de quoi elle avait discuté avec les filles.
— C’est surtout Géraldine qui voulait tout savoir sur toi et moi ; elle m’a même demandé ce qu’on faisait au lit ! Ta sœur a été beaucoup plus discrète. Je t’avoue que je me suis bien amusée. Ta famille est très sympa !
— Et tu lui as répondu quoi, à Géraldine ?
— Ne t’inquiète pas : que des banalités.
— Quelles banalités ?
— Des bêtises : que tu aimes quand je te caresse dans le bas dos, par exemple, me répond-elle en souriant, me rappelant du même coup notre embrassade sur la plage.
— Excuse-moi. T’as vraiment assuré, merci.
— Cette fois je mérite vraiment une prime : il fallait les convaincre. Mais tu n’étais pas insensible à mes charmes…
— Colombe ! Ça n’a pas eu l’air de te déplaire tant que ça.
— Je dois reconnaître que t’as un certain charme.
Elle attrape son sac et me tend l’enveloppe avec l’argent que je lui avais donné à la gare.
— Je n’en veux pas ...