1. Souvenirs d'infirmière (partie 1)


    Datte: 26/11/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Clar, Source: Hds

    ... éducation réprouvaient. Etrangement, je ressentais plus d’excitation que de honte.
    
    La semaine passa, je ne fus pas une nouvelle fois sollicitée…. Je devais travailler le dimanche. Je retrouvais Carole dans le vestiaire. Pendant que je me changeais, Carole m’apprit que le patient de la 360 lui avait dit que je lui plaisais terriblement. Elle lui avait fait la petite toilette « Tu verras ma chérie, il a un chibre du feu de dieu. A mon avis, tu vas passer un sacré bon moment. Tu me raconteras hein ? Mais moi, à ta place, je ne mettrais pas de culotte. Pour gagner du temps ; et puis pour t’exciter en attendant »
    
    Arrivée au service je me renseignais discrètement sur le pensionnaire de la chambre 360. Un quadragénaire venu pour une opération de l’épaule, sortant le lendemain. Je passais en début d’après-midi dans les chambres pour voir si tout se passait bien. Plusieurs patients ne firent pas attention à moi. En revanche, d’autres me firent de grands sourire, me plaignant de devoir travailler un dimanche. Je frappai à la porte de la chambre 360 et entrai. L’homme me fit un grand sourire et referma le livre qu’il avait en main. « Voici ma mignonne infirmière préférée. Pouvez-vous ma belle me remonter mon oreiller s’il vous plait ? » Je m’exécutai, et, en me penchant en avant, lui offris le panorama de ma poitrine. Bien entendu, il n’en perdait pas une miette. « Merci, belle enfant, vous êtes absolument ravissante ». J’en rougis de plaisir. « Bon, à tout à l’heure ...
    ... ».
    
    L’après-midi s’étirait. Nous n’avions pas beaucoup de travail, les patients recevaient des visites de leur famille et les soins étaient rares. A dix-neuf heures trente, coup de sonnette de la 360. « Tiens, c’est l’heure du coup de bourre » me glissa malicieusement Carole. « Prends ton temps et éclate-toi bien, je fais le taf ».
    
    Je frappais à la 360. « Entrez ! ». Je voulais m’assurer qu’il était seul. Il l’était. « Oh, excusez-moi, j’ai oublié ma montre dans la chambre d’à côté, je reviens ». Cette excuse me permit de défaire les 3 boutons du haut de ma tunique. Je retournais dans la chambre. « Excellent » me dit-il. Il repoussa les draps. Il n’était vêtu que d’une chemise d’hôpital, et la première chose qui attitra ma vue, c’était son érection bien visible qui déformait sa chemise d’hôpital.
    
    « Approche » ordonna-t-il. Il était passé au tutoiement. J’obéis. J’avançai jusqu’au lit. Avec son bras valide, il attrapa ma tunique et tira latéralement dessus, faisant sauter les deux boutons restants. Ma tunique baillait sur mes seins libres. « Enlève là. Tu en crèves d’envie ». Je me retrouvais seins nus. Il s’assit sur le lit, posa ses mains sur mes hanches, et approcha sa bouche de mes seins, les embrassant alternativement. Je sentais que je mouillais abondamment. Sa langue était douce, je sentais mes pointes s’allonger. Ses mains ne restaient pas inactives, elles virevoltaient dans mon dos, faisant naitre des picotements excitants. Les mains se posèrent sur mon pantalon et le ...