1. Souvenirs d'infirmière (partie 1)


    Datte: 26/11/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Clar, Source: Hds

    ... chambre située au bout du service. Je remarquais que les deux boutons du haut de sa tunique étaient défaits. Je la retrouvais dans la salle de soins où on prépare les traitements. Elle était un peu penchée en avant sur la paillasse. J’avais une jolie vue plongeante sur ses seins. Naïvement je lui fis remarquer. « Ben t’es vierge ou t’es coincée du cul toi ? » me répondit-elle. « Le mec de la 456, il m’a donné 50 francs pour voir mes seins ». « Et alors ? tu as fait quoi ? ». « Ben j’ai enlevé mon haut, je lui ai pris les constantes, il a maté et m’a filé 50 balles ».
    
    Le soir, dans ma chambre, je repensais à ce que m’avait dit Carole. J’imaginais la scène. Cela me fit mouiller.
    
    Le lendemain, je choisis une culotte noire. Je me changeai dans le vestiaire, retirai mon soutien-gorge. Carole n’était pas là. Je la retrouvais dans le service. Nos regards se croisèrent et elle me fit un clin d’œil après avoir jeté un coup d’œil sur mon buste.
    
    A dix-huit heures, le pensionnaire de la 457 sonna. Je m’y rendis. Dans le couloir, je croisais Carole. Discrètement, avec un sourire mutin, elle dégrafa les deux boutons du haut de ma tunique et celui du bas. « Fais toi plaisir ma chérie » me dit-elle. C’était un homme d’une soixantaine d’années, chef d’entreprise, bien conservé, hospitalisé pour une pose de prothèse du genou. J’entrais dans la chambre et mis le voyant lumineux indiquant que des soins étaient en cours, de façon à ce que d’éventuels visiteurs n’entrent pas. « ...
    ... Bonjour mademoiselle, ma perfusion est bouchée, elle ne coule plus ». « Attendez, je vais essayer de voir ce qui ne va pas ». Penchée en avant, je constatais que je lui offrais le spectacle de mes seins nus à quelques centimètres de son nez. Je me sentis rougir. Je sentis une main se poser sur ma hanche et s’insinuer sous ma tunique. Paralysée, je le laissais faire. La main était douce et chaude, elle remonta le long de mon flanc, remonta jusqu’au sein qu’elle se mit à caresser. D’étranges sentiments contradictoires s’opposaient. D’une part le dégoût d’être ainsi prise pour un vulgaire tas de viande, et d’autre part une sourde excitation. « Si tu te mets seins nus, je te donne 50 francs ». Il fallait que cela cesse. Je devais partir. Au lieu de cela, je lui obéis. Je retirai ma tunique. Les yeux exorbités il fixait mes seins. Soudain, il posa une main ferme sur mes fesses, m’attira vers lui et se mit à lécher mes seins. La situation me faisait défaillir. Heureusement, j’avais réussi à déboucher la perfusion. Je me rhabillai, empochai un billet de cent francs et sortis. Je me dirigeai vers les toilettes du service et m’enfermai. Debout, j’ouvris ma tunique, descendis mon pantalon et tout en caressant mes seins, je me masturbai. Ma chatte était trempée. Je jouis rapidement, remis de l’ordre dans ma tenue et repris le travail.
    
    Le soir, dans mon lit, je repensai à ma journée, à ce que j’avais fait avec ce patient qui avait l’âge d’être mon père, à ces gestes que la morale et mon ...
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