Belle (1) - Histoires de Sexe

Belle (1)

... souffrance, et étirant encore plus son clitoris et le rendant étonnamment sensible. Il y avait alors mille façons d’agrémenter la douleur et de la rendre vraiment insoutenable, Belle avait une imagination sans fin. Elle avait été fascinée par le récit d’une jeune femme qui s’était brûlé le clitoris au fer à souder, pour ne plus ressentir de plaisir mais alors être toute tournée vers celui de son compagnon. Elle trouvait cela si fort, si parfait, ne plus pouvoir avoir d’orgasme du tout. Mais ce qui l’effrayait c’était le risque alors de perdre ses pulsions et son plaisir masochiste qui était sa vraie raison de vie. Elle y pensait souvent, et s’était pour l’instant interdit tout geste définitif.

Ses fesses étaient bien rebondies, elle les adorait, et les fouetter était un plaisir très particulier. Il lui avait fallu du temps pour acquérir la maîtrise, ne pas arrêter le coup trop tôt, se faire vraiment mal, faire des marques régulières. Comme pour les seins, sa seule culotte était une culotte de sport qui couvrait bien le pubis et ses fesses et qui était aussi couverte de pointes. Une journée à l’école ainsi était une torture de chaque instant qui la laissait épuisée, incapable d’écouter les cours, et terrorisée que le sang puisse la trahir, ce qui ne faisait qu’accroître son plaisir. Les pointes sur son sexe la faisaient parfois sursauter. En rentrant elle se battait les fesses couvertes du slip clouté d’une raquette de ping-pong, s’infligeant des blessures profondes, ...

... avant de s’allonger sur le lit, d’écarter les jambes, et avec terreur et délice, de se battre le sexe avec une règle plate, jusqu’à ce que la tête lui tourne trop et qu’elle soit au bord de l’évanouissement. Parfois Belle se caressait avec la culotte, les pointes martyrisant son clitoris déjà éprouvé, et les orgasmes la laissaient exsangue sur son lit.

Ce qui l’attirait le plus dans son corps et lui donnait les plaisirs à la fois les plus pervers et les plus fous c’était ses trous. Elle n’en parlait jamais que comme cela, ce terme la plongeant dans une grande honte et une humiliation de n’être finalement que deux trous à remplir. Elle avait d’abord découvert très tôt tous les plaisirs de son trou le plus naturel. Elle ne se souvenait plus depuis quel âge elle s’était introduit des objets au fond de son cul, toujours le plus gros possible, le plus profondément aussi. C’était devenu une obsession, dès qu’un objet oblong apparaissait, il fallait qu’elle se remplisse avec, comme si elle devait boucher ce trou, ou surtout l’éprouver. Et depuis son plus jeune âge, la règle qu’elle s’imposait était de toujours le nettoyer de la langue, quel que soit son état. Or parfois l’objet restait si longtemps qu’il était totalement maculé, mais jamais Belle ne s’octroyait le droit de déroger à la règle. Une fois elle en avait vomi sur le carrelage de la salle de bains. Totalement délirante, elle avait longuement observé ce qui avait été régurgité de son estomac, et se punissant sadiquement ...