1. J'ai jouis quatre fois


    Datte: 26/11/2019, Catégories: Première fois Auteur: God(e) of Sex, Source: Hds

    ... forte. Elle en profita donc pour se lever d’un bond, enlever ses hauts talons, ce qui me permis de regarder du coin de l’œil ses pieds fins et délicats et s’affaler sur le fauteuil. Depuis ma chaise, je la vis saisir une télécommande, et bientôt la sono installée dans toute la maison diffusa une musique de jazz très sexy, très envahissante, ce genre de musique de fond qui vous prend par les tripes et qui vous permet de faire de grandes choses.
    
    -Viens t’asseoir près de moi !
    
    Je lui obéis sur le champ.
    
    Une fois assis à côté d’elle, je sentis ses cuisses serrées contre les miennes, son odeur corporelle qui respirait la liberté, son haleine presque haletante dont les vapeurs m’excitaient presque, mais surtout, ses pieds sur mes jambes, pour lui permettre de s’asseoir confortablement, qui se reposaient sur mon sexe qui commençait à durcir de façon exponentielle. La tension sexuelle était palpable, et chaque mot, chaque geste, chaque odeur qu’elle dégageait me renvoyait à mon excitation grandissante. Je ne savais pas encore si le sentiment était réciproque, mais j’avais l’impression qu’elle faisait tout ce qui était en son pouvoir de femme désirable, aux courbes parfaitement dessinées, à la poitrine que je devinais ferme sous sa robe noire et ses hanches suffisamment larges pour me permettre d’imaginer deux fesses, telles deux globes qui se rencontrent tant elles étaient belles, pour faire naître en moi le feu de l’excitation.
    
    Bientôt je n’arriverais presque plus à me ...
    ... contenir et c’est ce moment qu’elle choisit pour me dire :
    
    -Ah mais au fait, je ne t’ai pas encore donné ton dessert il me semble.
    
    Sous le charme, sous le choc, je ne savais que répondre. Je ne savais pas non plus si le mot « dessert » était judicieusement choisi pour me faire passer un message ou s’il s’agissait simplement d’un hasard.
    
    -Effectivement, je n’ai pas encore eu cette chance, lui répondis-je sobrement.
    
    Elle m’interrompit dans mes pensées bien trop désorganisées pour confirmer tous les soupçons que j’avais depuis le début de cette soirée en approchant tendrement son visage du mien, ses lèvres pulpeuses mises en évidence. Elle ferma les yeux, j’inclinai mon visage pour accueillir son baiser sur mes lèvres. C’est comme si une révélation naissait en moi : toutes ces idées que je me faisais depuis plusieurs heures se révélaient vraies, en cet instant précis. Nous échangions nos salives, nos bouches apprenaient à se connaître. Dans un premier temps, seules nos lèvres communiquaient mais elles ne tardèrent pas à s’ouvrir pour laisser place à nos langues qui n’attendaient que de se rencontrer. Je les devinais comme des danseuses étoiles qui tournoyaient dans la nuit, les lumières braquées vers elles essayant d’accomplir les plus belles figures de leur carrière. Nos langues se mélangeaient et ne formaient plus qu’une, tantôt dans sa bouche, tantôt dans la mienne. Nos salives passaient d’un habitacle à l’autre, d’un corps à un autre, pour le plus grand plaisir de ...