J'ai jouis quatre fois
Datte: 26/11/2019,
Catégories:
Première fois
Auteur: God(e) of Sex, Source: Hds
Une fois de plus, en refermant mon ordinateur, un sentiment de culpabilité m’envahit. De la semence plein les doigts, je ne savais plus quoi faire de ceux-ci pour effectuer le reste des tâches à accomplir : nettoyer mon entre-jambes, mes mains, me rhabiller, mais en tout premier : attendre que mon sang cesse de tant affluer mon engin que je voyais se désenfler progressivement. Ce rituel élémentaire suivait toujours cette activité caractéristique puisque, à l’âge de vingt ans, bien que je n’eu jamais l’occasion de goûter aux beautés du désir charnel, je m’adonnais en revanche très régulièrement au plaisir solitaire. C’est pour cette raison que je me sentais honteux. Mon existence vierge de relation sexuelle me complexait et je n’attendais qu’une chose : expulser de mon être cette frustration qui m’habitait depuis tant d’années. Mais bien sûr, j’étais trop gêné, ou timide, pour oser tenter un quelconque premier pas vers une personne du sexe opposé afin de me libérer. Je ne savais si je croyais encore à cette lubie qu’est le grand amour et que mon attente se révèlerait justifiée lorsque le moment de notre rencontre serait venu, ou si j’étais simplement trop peu sentimentalement dynamique pour bâtir une relation. J’étais pourtant socialement actif, j’étais très apprécié, je connaissais beaucoup de monde, j’avais à mon actif bon nombre d’activités qui me permettaient de multiples nouvelles rencontres, mais lorsqu’il s’agissait de sentiment, ou même d’assouvir ce besoin ...
... rudimentaire qu’est le plaisir du corps, je me révélais alors aussi subtil qu’un bâton de bois.
Bref, je faisais un tour en voiture, seul, musique à fond afin de se faire évader de ma tête ces idées sombres qui m’envahissaient. J’avançais sans vraiment trop savoir où j’allais, l’asphalte grésillait sous mes pneus et les paysages défilaient sous mes yeux. Je cru alors reconnaître la maison d’un ami, Silvano, avec qui je m’entendais assez bien. Sous l’effet de la surprise puisque cet ami habitait vraiment loin de chez moi, je ralentis, et me retrouvai effectivement face à la bâtisse que je connaissais assez bien pour y avoir passées quelques soirées arrosées en compagnie de nos amis, et parfois même, lorsque nous étions en comité réduit, de sa magnifique mère, Alina, à la peau lisse comme la pelure d’une pêche et aux couleurs non sans rappeler ses origines méditerranéennes. Avec son physique non négligeable, il était de notoriété publique que la mère de Silvano était une femme désirable. De plus, le célibat de cette dernière nous nourrissait tous de fantasmes insatiables puisqu’on devinait qu’une dame de cette trempe ne puisse s’intéresser à gamins de nos âges. Dans l’espoir de parler avec mon ami, je frappai à la porte, trois coups distincts. Lorsque je vis la porte s’ouvrir, quelle ne fut pas ma stupeur en voyant le visage qui venait d’apparaître de voir qu’il ne s’agissait pas de mon ami, mais de sa mère, merveilleusement vêtue d’une légère robe noire qui laissait deviner ses formes ...