J'ai jouis quatre fois
Datte: 26/11/2019,
Catégories:
Première fois
Auteur: God(e) of Sex, Source: Hds
... je me permis donc de passer cette soirée en sa compagnie dans l’objectif de la séduire.
-Avec grand plaisir !
Je pris une des chaises en l’invitant à s’asseoir, et fis de même pour ma part sur celle d’en face. La table était ronde, ce qui nous permettait d’être relativement proches, assez en tout cas, pour voir cette pointe de pétillant dans ses yeux qui lui était propre. La conversation était passionnante, pleine de vélocité, de vie, mais surtout de joie de vie. Les rires étaient puissants et sonores, vrais. Ils venaient du cœur et n’importe quel témoin, s’il y en avait eu, aurait pu vous affirmer que les deux personnes que nous étions et qui apprenaient à se connaître ont créé dès le début une relation particulière, spéciale, comme si les deux protagonistes se connaissaient depuis toujours mais se révélaient aussi, sans artifice, tels qu’ils étaient. Nous parlions de tout et de rien, mais le plus infime détail de la moins intéressantes de nos conversations avait son importance, mais surtout, une oreille sincère pour l’écouter. Nous naviguions donc sur toutes sortes de sujets : Silvano, son père, elle se confia à moi, sa famille, son pays qui lui manquait tant. Nous enchaînions les mets, en passant de l’apéro aux fromages en passant par l’entrée, et surtout, le repas principal. Des repas succulents, préparés avec amour disait-elle, puisqu’il s’agissait selon sa famille de l’ingrédient ultime pour mener à bien une recette transmise de génération en génération. Chaque ...
... détail de son repas me permettait d’admirer un peu plus chaque seconde son visage, son nez fin, ses yeux expressifs, ses pommettes, ses joues rondes, ses lèvres sur lesquelles je voyais se dessiner sa salive, mais aussi son corps, ses formes, son décolleté qui m’offrait une vue des plus plaisantes lorsqu’elle s’avançait vers moi pour partager un rire, une histoire, ou un secret. Sa peau n’était pas la seule partie de son corps à me renvoyer vers ses racines : le bleu de ses yeux me rappelait la clarté sans égale de la mer de Genova ; ses cheveux noirs de jais me renvoyaient à la profondeur et à la complexité de son être ; son humeur changeant me faisait penser aux montagnes de Naples dont les sentiers sont imprévisibles mais dont la vue est, arrivé au sommet, splendide ; ses manières et son sourire ressemblait à ceux des plus honorables divas, et enfin, ses courbes sans pareil me poussait à la confondre avec les plus beaux tableaux et chefs d’œuvres de son pays : l’Italie.
La soirée prenait une tournure inattendue mais charmante. Je passais réellement un moment exceptionnel, et j’espérais qu’elle aussi. Les verres s’enchaînaient, et bientôt ce fut le tour des bouteilles. Le vin et le champagne étaient délicieux, mais après trois bouteilles de chaque, les effets se faisaient ressentir au niveau de la tête. Les conversations étaient donc plus légères, plus aérées, plus drôles. Chaque rire était poussé au maximum de ses capacités et la complicité se faisait de plus en plus ...