48 - Zahra : dis-moi « Moi ou ton mari ? »
Datte: 26/11/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Noura, Source: Hds
... directement mon étonnement, j’étais ébloui de sa féminité, de sa tenue et du parfum que son corps dégageait. Ce jour la, dans mon cabinet, c’était réellement une femme étrangère et pour la première fois, je la désirais sexuellement. J’ai tout de suite pensé qu’elle me draguait sous l’excuse de faux problèmes génitaux, et j’étais preneur.
Ensuite, elle me détailla son soi disant problème. Elle était mariée depuis plus de trois ans et avait des relations sexuelles normales et régulières avec son mari, sans aucune protection vaginale, et pourtant elle n’arrivait pas à être enceinte. Et comme son mari lui avait dit qu’il avait déjà eu un enfant dans un premier mariage, elle était inquiète sur elle-même. Cette situation commençait à la bloquer sexuellement et l’énervait en permanence. Elle a donc décidé de voir un spécialiste et c’est à moi qu’elle s’est adressée, d’abord comme mari de son amie. J’ai fait semblant d’approuver son choix et comprendre ses inquiétudes. J’avais hâte de l’examiner, nue, et de caresser ce corps qui commençait à m’affoler. Mon zob était déjà bandé à fond et mon corps brulait de désir.
Elle s’est étendue sur le lit de consultation et j’ai commencé à dégrafer les boutons de sa robe en lui conseillant de fermer les yeux car le docteur et son patient doivent rester très calmes pendant l’osculation. Lorsque j’ai dégrafé le premier bouton supérieur, j’ai découvert son soutien gorge, un mini soutien qui n’arrivait pas à retenir complètement ses larges ...
... seins bien gonflés et qui débordaient largement sur les cotés. J’étais réellement ébloui et excité et mon zob me faisait tellement il gonflait. Cependant, j’ai essayé de résister en écartant ma vue de ces beaux seins tentants et j’ai pris une profonde inspiration, comme si c’était moi le malade et non Zahra. Ensuite j’ai déboutonné l’ensemble jusqu’aux cuisses et écarté la robe en découvrant tout le corps. Elle n’avait rien d’autre dessous sauf un joli slip blanc tamisé comme une toile, juste au niveau de son sexe qui m’apparaissait pratiquement, bien gonflé et bien rasé. Le sillon de sa chatte était plus aguichant que si elle était sans slip et j’ai failli foncé dessus avec mes lèvres.
Mais je me suis un peu retenu et j’ai dégagé complètement sa robe pour la poser sur une chaise. Puis, j’ai commencé, soi disant mon travail d’auscultation en appuyant, plutôt caressant, avec les mains, certaines parties de son corps en lui demandant de me dire ce qu’elle ressentait. Elle avait toujours les yeux fermés, quoique je la soupçonne de m’observer en douce sous les paupières. Elle m’a avoué que mes mains étaient douces et lui chauffaient la peau. Puis j’ai mis mon oreille et ma joue sur ses seins, en appuyant, comme pour écouter son cœur que je sentais battre rapidement, preuve qu’elle était aussi excitée que moi. Je me dis, mais qu’ai-je à faire avec son cœur puisque c’est son sexe qu’elle voulait que j’examine. !
J’ai donc collé ma joue avec insistance sur ses deux seins et ...