1. 48 - Zahra : dis-moi « Moi ou ton mari ? »


    Datte: 26/11/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    48 - Zahra : dis-moi « Moi ou ton mari ? »
    
    Dans une soirée d’un ami commun, je discutais l’autre jour avec Salah mon jeune ami médecin. Je le félicitais, lui et les hommes et femmes de ce métier sur leur courage face aux situations graves de leurs patients et surtout de leur sang froid face au sexe opposé qui doivent se dénuder devant eux pour les soigner. Je suis sûr que certains de leurs clients et clientes leur faisaient des avances sans qu’ils leur répondent grâce à leurs études et leur expérience. Il m’a doucement souri et m’a répondu que je me trompais et que parfois, eux aussi, médecins ou pas, réagissent comme de simples êtres humains excités par le sexe. Et pour me convaincre et peut-être m’exciter car je le taquinais souvent sur ce sujet, il m’a raconté une de ses aventures du genre avec une patiente. Je le cite :
    
    « Il y a quelques années quant je professais dans une autre ville, ma femme m’avais demandé à prendre avec nous, dans ma voiture, chaque matin, sa voisine et amie, appelons la Zahra, car son lieu de travail est à cinq mètres plus loin de celui de mon épouse. Chaque fois, ma femme s’assoit d’abord à mon coté et Zahra à l’arrière. Arrivée au lieu de son travail, ma femme descend la première. Puis Zahra, dont le Lycée est plus loin, prend sa place à coté de moi. Je l’amène à son travail puis je rejoins mon cabinet car je suis médecin spécialiste urologue et annexes. Zahra était une femme de trente ans, toujours très discrète et réservée et sa tenue ...
    ... toujours très stricte. C’était d’ailleurs pour son attitude sérieuse que ma femme était devenue son amie et avait accepté de me la confier pour l’amener à son travail.
    
    Un jour, alors que nous arrivions près de son travail, avant de descendre, Zahra m’a demandé si je pouvais la conseiller pour ses problèmes de santé. Selon ses dires, elle avait hésité longtemps, à cause de son amitié pour ma femme, mais sans m’expliquer pourquoi. Mais ce jour la, elle a pris son courage et a décidé de se confier, non seulement à l’ami pour garder son secret, mais surtout au médecin spécialiste car son problème concerne ses organes génitaux. Je l’ai rassurée car le secret est l’un des principes de notre profession. On a donc pris rendez vous et le samedi suivant, jour de congé au Lycée, elle est venue me voir seule dans mon cabinet, car moi je ne ferme que le dimanche.
    
    Ce jour la, Zahra était très différente de celle que nous connaissions. Sa tenue était totalement différente et très sexy. Elle avait une robe avec des boutons jusqu’aux ras des cuisses et tenue par une ceinture bien serrée, ce qui dégageait outrageusement son derrière et ses larges fesses. Le col de la robe, assez bas permettait d’admirer très largement le début du sillon de ses seins qui gonflaient le vêtement de manière arrogante. Ainsi vêtue, Zahra était une très belle femme, au corps bien rempli et quant elle sourit, ce qu’elle faisait rarement auparavant, elle devenait irrésistible. Même si je ne voulais pas montrer assez ...
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