1. 48 - Zahra : dis-moi « Moi ou ton mari ? »


    Datte: 26/11/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... à moi et je pouvais la sucer entièrement, de l’extérieur, de l’intérieur et écartant ses lèvres je la pénétrais avec délice en buvant son nectar. Ma langue, mon doigt et même mon nez pénétrèrent dans sa chatte pour la humer, la sentir et la gouter. J’étais encore plus ébloui et excité. Je la baisais avec ma langue et son clitoris que je léchais en cadence gonflait comme une bite. Zahra n’était plus maitresse d’elle-même et criait de plaisir et de jouissances. Je changeais parfois ma langue par mes doigts dans sa chatte et la branlais vigoureusement et elle hurlait de jouissances. Ainsi, elle a eu un orgasme bruyant. J’ai un peu ralenti pour la laisser souffler, puis j’ai repris mes branlements avec les doigts et les lèchements avec mes lèvres et elle a eu très rapidement, un second orgasme aussi gruyant et mouillé que le premier.
    
    Ce que je ne comprenais pas, c’est pourquoi je continuais à la baiser avec mes doigts et ma langue au lieu d’y plonger mon zob qui, pourtant, me faisait mal à force d’être gonflé. Je dois certainement avoir un problème psychologique à étudier plus tard. Même quant je ralentissais mes branles sur sa chatte et que je continuais avec mes autres doigts, ma branle vigoureuse dans son cul, Zahra éprouvait autant de plaisir. La preuve, c’est qu’elle remuait ses fesses, en cadence avec mes caresses et je sentais son anus qui vibrait par ses pressions internes. J’ai aussitôt pensé que cette femme était formidable, une vrai femelle de sexe, devant et ...
    ... derrière, et je commençais à comprendre qu’elle s’est facilement donné à moi. Elle était femme même dans ses murmures « non !non !aaahh !maman ! » et « continue !continues !doctor !pousses ! ». Elle disait cela en arabe bien sur (ya yemma ! zid ! doctor ! douk !) et ça donnait à ses paroles un accent et un sens encore plus sensuel qui amplifie l’excitation.
    
    Elle a enfin ouvert les yeux et me regardait avec fougue et me dit, toujours en arabe affolant « doctor !tu m’as échauffée !excitée !alors termines !baises moi ! donnes moi ton zob ! vite » (doctor ! sakhanatni ! 7aragatni ! aya kammal ! nikeni ! hatli zebek ! fissa3 ! Ses paroles me brulaient, m’affolaient mais je continuais seulement mes caresses digitales profondes et elle ajoutait presque avec violence contre moi : « niques moi ! niques moi ! ô doctor !niques moi s’il te plait !plonge ton zob dans ma chatte ! vite! » (nikes moi ! ô doctor ! sa7a nikes moi ! douk zebek fi souti ! fissa3). Maintenant, elle avait élevé ses jambes et écarté ses cuisses le plus haut possible, totalement offerte pour le plaisir de la baise.
    
    C’est alors que j’ai été vaincu par le désir. J’ai descendu mon pantalon et dégagé mon zob. Je l’ai d’abord offert à sa bouche pour lui ordonner de me sucer comme une vraie femme qui aime le sexe des hommes. «t’7abi zeb rjaal ! haki zebi !moussih !thouguih !koulih ! » (tu aimes le zob des hommes ! tiens mon zob ! suces le ! goutes le ! manges le !). Alors, elle empoigna mon zob gonflé à bloc pour ...
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