Le baiser salé - Histoires de Sexe

Le baiser salé

... simplement là.

Angela se sentait bien avec moi. Elle me l’avait répété plusieurs fois. Je la dévorais à nouveau des yeux.

Elle était étendue sur le relax de notre terrasse, la poitrine légèrement écartée sous le chemisier. Toujours pas de soutif, évidemment et sûrement pas de petite culotte.

J’étais littéralement grisé par cette fille sympa, relax, et très ouverte.

Je me mis à l’embrasser tendrement en passant une main impatiente sur sa pulpeuse poitrine…

— Attends, je dois faire pipi.
— Ok
— Je reviens vite, je n’allume même pas. J’arrive.
— J’en profitai pour nous resservir deux boissons quand un « pssst !» attira mon attention.

Cela venait de l’intérieur.

Angela murmurait : « Viens vite. Fais doucement. »

Etonné, je la suivis vers la salle de bains.

— Regarde, on voit la lumière de la lune. Il y a plein de trous partout.
— Tu crois ?
— Ben oui, regarde bien.

En effet, en y regardant bien, on pouvait voir une dizaine de petits trous à plusieurs endroits de la paroi et un plus gros près du WC.

— On dirait que João ne tient pas ses promesses.
— Mmm, je dirais même que c’est excitant.
— Excitant ? Cela t’excite toi, d’être observée, ma chérie.
— Pas toi peut-être ? Dis plutôt que tu préfèrerais voir plutôt que d’être vu !
— Hé bien….
— Allons, tu n’as pas aimé me voir avec Edilson ?
— Heu, si, mais c’est pas pareil.
— Comment ça, pas pareil ?
— Ben non. Moi au moins je participe. João lui, se branle comme un malheureux derrière sa ...

... paroi.
— Ah bon, tu crois ? Et ce trou près du WC, tu en as vu la taille ?
— Ben oui, et alors ?
— Hé bien il se peut que Carmina n’en sache pas assez sur les activités de son homme à tout faire. Tu n’as jamais entendu parlé des « glory holes » ?
— Les glory quoi ?
— Ce sont des trous forés dans les parois des toilettes pour y passer un sexe d’homme.
— Ah bon. Et tu connais ça, toi ?

Elle rougit.

— Donc João serait voyeur, mais aussi actif et bien osé, car passer sa biroute dans un trou sans savoir la réaction de l’hôte, cela pourrait avoir des effets imprévisibles, tu ne crois pas ?
— Oui, comme de ne pas savoir si c’est une bouche d’homme ou de femme qui le suce, hé, hé !.
— M’enfin, Angela. Tu es vraiment dévergondée.
— Mais nooon. C’est la vie. Et puis tu es au Brésil. Ici, on ne fait pas partie du tiers monde pour ce qui est du sexe, tu sais. Je dirais même qu’on vous bat largement.
— Je n’en doute pas un seul instant.
— Chut. Attends
— Quoi ?
— Je crois qu’on a bougé de l’autre côté.
— Qu’est-ce qu’on fait, alors ?
— Comme tu veux mon chéri. Te sens-tu d’attaque ?
— Pour ?
— Ecoute bien…

João Batista avait déjà tout vu de cette belle femelle de l’appart. numéro 14. C’était une vraie garce comme il aimait voir et revoir.

Après moultes pingas (alcool blanc local), il n’avait pas pu s’empêcher de venir jeter un œil derrière la salle de bains de ce couple insolite.

Le bâton bien dur qui lui faisait mal dans son short avait bien besoin d’être ...