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Le baiser salé
Datte: 25/11/2019, Catégories: fh, fhh, couleurs, vacances, plage, danser, voyage, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, entreseins, Oral fsodo, Auteur: Ari Duparc, Source: Revebebe
... dans le sable. Une belle dame la salua tout en me jetant un regard foudroyant. J’ai pu comprendre qu’il restait deux chambres. La première à deux lits sans réfrigérateur et la numéro14 à quatre lits avec frigo. La négociation se termina par une poignée de main entre les deux femmes. Je n’avais rien compris, jusqu’à ce que Carmina nous emmène vers une grande chambre équipée d’un superbe frigo. La fête s’enfonçait dans la nuit à grand coups de Caiperïnha (boisson faite d’alcool de canne, sucre et citron vert). Angela était somptueuse. Elle devait faire dans les 1m70. Le tanga rouge mettait en valeur ses longs cheveux noirs. Sa poitrine libérée profitait du moindre de ses mouvements pour frémir et attirait les regards des hommes présents. Sa mini-jupe noire ne laissait rien présager de sage pour la suite du programme. Elle m’avait emmené sur l’autre plage, celle des pêcheurs. Après le délicieux repas de crevettes grillées, nous sommes restés assis dans cette cabane qui faisait office de restaurant-bar de plage. Elle me parlait de tout et de rien. Je frissonnais dans le souffle de ses paroles. Il y avait de plus en plus de monde. Une bande de musiciens surgit de nulle part avec un solide répertoire de Forò (danse très sensuelle originaire du nord du Brésil). Angela s’était assise près de moi, libérant l’autre côté de notre table. — Tu connais le Forò ? — J’adore cette musique, mais je n’ai jamais… — Viens. Elle m’attira vers la piste de danse ...
... improvisée pour m’apprendre les mouvements. Le rythme saccadé m’enivrait d’avantage. Le parfum de ma compagne d’aventure m’excitait comme un fou. À quelques millimètres de son ample poitrine, j’essayais de suivre les pas. — Tout cela est pour moi ? Dit-elle en fixant les yeux sur mon jeans Je bandais à pierre fendre. Je n’avais plus qu’une idée en tête : c’était de la déshabiller, l’observer de haut en bas et puis de la dévorer. — Attention, tu sais que je ne porte pas de culotte. En fait non, je ne le savais pas. C’était comme si une décharge de cent mille volts m’avait foudroyé, je ne pouvais plus parler. Ma gorge se nouait. Je fus spectateur pour la danse suivante. Pendant qu’un grand gaillard café-au-lait emmenait ma douce Angela dans les méandres du Forò, je regardais avec passion le couple tressaillir au rythme de la musique nordestine. Tout à coup, mon attention se porta sur leurs croupes qui se trouvaient à même hauteur. Je fixais la jupe d’Angela exactement à l’endroit de son mont de Vénus. Pas difficile de savoir où il se trouvait. Sa jupe était remontée sur l’avant, dévoilant son sexe entièrement épilé. Le grand noir frottait la bosse de son jeans en cadence. J’en devenais fou de désir. — Cela t’a plu de nous regarder danser ? — Enormément. — Il danse bien tu sais. — À ça oui. J’ai bien vu ! Il t’a presque fait l’amour devant tout le monde ! — J’aime exciter les hommes, surtout quand ils dansent bien. Allez viens, on y ...