1. Le baiser salé


    Datte: 25/11/2019, Catégories: fh, fhh, couleurs, vacances, plage, danser, voyage, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, entreseins, Oral fsodo, Auteur: Ari Duparc, Source: Revebebe

    ... blanches s’échappaient de sa raie culière.
    
    Je rebandais. Edilson me suivait.
    
    La serrant dans mes bras, je l’embrassais fougueusement. Je n’avais qu’une idée en tête : la faire jouir.
    
    Allongés sur le grand lit, j’entrepris de l’embrasser partout. Elle releva les jambes comme un poulet prêt à rôtir. Je me ruai sur sa fente épilée, léchant, mordillant. Lorsque j’atteins son point sensible, elle relâcha les jambes et j’en profitai pour y introduire un doigt puis deux faisant alterner les coups de langue et les coulissements dans son sexe maintenant ouvert.
    
    Edilson en avait profité pour se placer au-dessus d’Angela afin de mieux entrer dans sa grande bouche souriante. Je pouvais voir son sexe énorme déformer les belles lèvres de ma conquête.
    
    Je me dis qu’incroyablement, elle arriverait peut-être à l’avaler entièrement. La hampe glissait irrémédiablement vers le fond de sa gorge, créant à chaque fois une contraction de son mont de Vénus. Soudain ce fut l’apogée : mes doigts furent prisonniers des ses muscles vaginaux. Elle se cabra. Pendant qu’une sourde complainte s’échappait de sa bouche maintenant bien remplie, les couilles noires d’Edilson se contractaient en percutant le menton de la belle. Il déchargeait à profusion. Le jus jaillissait par la bouche et le nez de mon ange. De ma position, la vue était incroyable.
    
    Remis sur le dos, notre ami d’ébène retrouvait lentement son souffle. J’en profitai pour entrer ma bite dans le trou serré de ma belle métisse. ...
    ... Les spasmes de sa jouissance continuaient et serraient ma queue de plus belle, dopant mon plaisir. Elle gémit, un peu honteuse de ne pouvoir cacher son visage souillé. De longues traînées de jus coulaient de ses narines et du coin de ses lèvres. Elle était comme paralysée.
    
    — Je ne peux plus bouger, aaah ! Je n’en peux plus. Que c’est bon !
    
    Il n’en fallut pas plus. Je me sentis partir, tout en massant sa grosse poitrine perlée de transpiration. Je m’écroulai sur ce corps inerte, incapable d’arrêter le flot de mon jus d’amour.
    
    Il devait pleuvoir. Je m’éveillais doucement au son du ruissellement. J’étais seul sur le grand lit. Ce bruit venait de la salle de bains. Angela était sous la douche.
    
    Edilson était parti. Elle apparut, enveloppée d’une grande serviette colorée.
    
    — J’ai faim, mon amour aux yeux bleus. Ce soir, on mange chez Carmina. C’est elle qui prépare le repas pour nous. Cela risque d’être plus calme qu’hier, ajouta-t-elle en m’embrassant.
    
    Sa main s’égara au passage sur mon service trois pièces sinistré.
    
    — Allez viens, je vais te laver.
    
    Cela faisait bien longtemps qu’on ne m’avait lavé…C’était lors de mon séjour à l’hôpital et cela n’avait rien de sensuel. Je me rappelais avec effroi des gestes énergiques de la vieille infirmière à barbe.
    
    Angela était aussi infirmière dans un grand établissement privé de São Paulo. Sûr qu’elle avait du voir une belle collection de bites dans sa vie professionnelle, surtout si elle prenait soin de ses patients ...
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