Chronique de la folie ordinaire (3)
Datte: 23/11/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... cheminée.
— Bon ! Dans dix minutes nous allons avoir une température agréable. Et puis comme ça tu pourras laisser la lumière éteinte.
— Mais… bon sang, je te vois tous les jours et puis ton Franck, lui ne te donnait aucun complexe ?
— Pourquoi remues-tu le couteau dans la plaie ? Tu ne parles plus de ce type d’accord ?
— Pardon… je suis une jeune maladroite… bon allez mets-toi toute nue.
— À poils ? Non je garde mon soutien-gorge et ma culotte !
— Rien du tout ! Toute nue, je ne vais pas mâchurer tes vêtements et puis… je te connais par cœur aussi, tout comme tu m’as toujours vue sans rien. Alors…
Elle a juste un drôle de reflet dans l’œil et sans me regarder, elle retire son cache-seins. Son slip de bain aussi quitte son corps et va rejoindre le tas formé par son soutif et son déshabillé. Bon sang comme elle est belle. Dans vingt ans je voudrais encore être comme elle. Ses nichons ne tombent pas et c’est idiot, mais comme les miens, les tétons sont très longs. L’aréole est plus brune que sur ma poitrine, presque mauve pour finir et elle s’étend le ventre sur les serviettes qui sont disposées sur l’assise du divan. J’ai la bouteille d’huile essentielle et j’en fais couler un peu sur son dos.
La chair de poule qui couvre son corps lui fait lâcher un petit cri. Je ris et mes mains frottées l’une contre l’autre sont ainsi enduites de cet onguent parfumé. À genoux devant le sofa, je me retrouve à la bonne hauteur pour faire voyager mes mains sur ce long ...
... corps absolument superbe, offert à mes regards autant qu’à mes pattes qui débutent un pèlerinage inédit. Lentement d’abord, le long de sa colonne vertébrale je lisse le velours de la peau, n’osant encore m’écarter de cette chaine dorsale que timidement. Et je sens sous mes phalanges sa chaleur qui se communique à mes paumes tout entières.
Puis au fil des secondes qui s’écoulent, mes gestes s’enhardissent et les excursions sur les flancs sont plus nombreuses. Son dos devient mon royaume, je joue, pince, câline avec lui, enfonçant mes menottes dans la chair sous prétexte de ne laisser aucune zone vierge de leur passage. Elle, tout d’abord ne bronche aucunement. Mais au fil de ces savants tripatouillages, je la sens qui se détend, pour enfin être plus à l’aise. Et je persiste, revenant de nombreuses fois sur la longue plage allant de la nuque à ses fesses, sans qu’elle n’y trouve rien à redire. Elle tourne son visage qui jusque-là était resté tourné vers le dossier comme pour voir ce qui va se passer désormais.
Il est vrai que mes pattes font de temps à autre une incursion sur le flanc qui m’est accessible de par sa position et que j’effleure la masse débordante de son sein. Elle tressaille à chaque frôlement et sa respiration devient plus saccadée. J’insiste en remontant de la hanche vers l’aisselle, très délicatement, très doucement. Et mes doigts pour la première fois longent carrément ces côtes. Je ne tiens pas à la voir se sauver et abandonner la position qui me donne ...