Roméo et Juliette (d'après William S.) - Acte I, partie 2
Datte: 21/11/2019,
Catégories:
fh,
grp,
Partouze / Groupe
traduction,
théatre,
pastiche,
délire,
Humour
théâtre,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... doigt à Juliette. - Si j’ai profané avec mon indigne main cette châsse sacrée, je suis prêt à une douce pénitence : permettez à mes lèvres, comme à deux pèlerins rougissants, d’effacer ce grossier attouchement par une tendre léchouille.
JULIETTE. - Bon pèlerin, vous êtes trop sévère pour votre main qui n’a fait preuve en ceci que d’une petite branlette. Les saintes mêmes ont des culs que peuvent visiter les doigts des pèlerins ; et cette pénétration est agréable.
ROMÉO. - Les saintes n’ont-elles pas des lèvres, et les pèlerins des bites ?
JULIETTE. - Oui, pèlerin, des lèvres vouées aux gémissements.
ROMÉO. - Oh ! alors, chère sainte, que les lèvres fassent ce que font les mains. Elles te prient ; exauce-les, de peur que leur soif ne soit finalement apaisée que par plusieurs tournées de tequilas.
JULIETTE. - Les saintes restent immobiles, tout en poussant des gémissements.
ROMÉO. - Restez donc immobile, tandis que je recueillerai l’effet de ma soif. (Il l’embrasse sur la chatte.) Vos lèvres ont étanché la soif des miennes.
JULIETTE. – Hmmm ! Encore !
(Il l’embrasse encore et la lèche avec application.)
JULIETTE. - Vous avez l’art des léchouilles.
LA NOURRICE,à Juliette. - Madame, votre mère voudrait vous dire un mot.(Juliette se dirige vers lady Capulet.)
ROMÉO,à la nourrice. - Qui donc est sa mère ?
LA NOURRICE. - Eh bien, partouzard, sa mère est la maîtresse de la maison, une dame bonne, et désirable et lubrique ; j’ai tout appris à sa ...
... fille, celle avec qui vous papouilliez ; je vais vous dire : celui qui parviendra à ne pas mettre que sa bite en elle, mais aussi à gagner son cœur, pourra faire sonner les écus.
ROMÉO. - C’est une Capulet ! Oh merde !
BENVOLIO,à Roméo. - Allons, partons ; mes bourses sont vides.
ROMÉO,à part. - Hélas ! oui, et ma bite est hésitante.
PREMIER CAPULET,aux invités qui se retirent. - Çà, amis partouzeurs, n’allez pas nous quitter encore : nous avons une méchante surprise qui se prépare… Vous êtes donc décidés ?… Eh bien, alors je vous remercie tous… Je vous remercie, braves gens. Bonne nuit. Des godes par ici ! Cette dame n’est pas comblée… Allons, mettons-nous au lit !(À son cousin Capulet, saisissant deux invitées.) Ah ! ma foi, mon cher, il se fait tard : je vais me finir ces deux-là.
(Tous sortent, excepté Juliette et la nourrice.)
JULIETTE. - Viens ici, mémère ! quel est ce branleur, là-bas ?
LA NOURRICE. - C’est le fils et l’héritier du vieux Dukono.
JULIETTE. - Quel est celui qui se renculotte à présent ?
LA NOURRICE. - Ma foi, je crois que c’est le jeune Lenœud.
JULIETTE,montrant Roméo. - Quel est cet autre qui s’éloigne et qui n’a pas voulu baiser ?
LA NOURRICE. - Je ne sais pas.
JULIETTE. - Va demander son nom.(La nourrice s’éloigne un moment.) S’il est homo, je saute par la fenêtre.
LA NOURRICE,revenant. - Son nom est Roméo ; c’est un Montaigu, le fils unique de votre grand ennemi.
JULIETTE. - Mon unique désir émane de mon unique ...