1. Roméo et Juliette (d'après William S.) - Acte I, partie 2


    Datte: 21/11/2019, Catégories: fh, grp, Partouze / Groupe traduction, théatre, pastiche, délire, Humour théâtre, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... !
    
    LADY CAPULET. - En voilà assez ; bordel, tu vas la boucler !
    
    LA NOURRICE. - Oui, madame ; pourtant je ne peux pas m’empêcher de rire quand je songe qu’elle cessa de sucer et dit :Ouiiiiiiiii ! Et pourtant je garantis qu’elle devait avoir un peu mal au cul, avec la bite de mon mari aussi grosse qu’une belle branche, un coup terrible ! et elle suçait avec appétit.Oui-da, fit mon mari,tu as un sacré cul ! Quand tu sauras mieux t’en servir, tu seras vraiment une reine ; n’est-ce pas, Juju ? Et elle s’arrêta et dit :Ouiiiiiii !
    
    JULIETTE. - Arrête-toi donc, nourrice, tu commences vraiment à nous faire chier !
    
    LA NOURRICE. - Paix ! j’ai fini. Que le Grand Marabout te marque de sa grâce ! tu es la plus jolie fille que j’aie jamais initiée ; si je puis vivre pour te voir dominante un jour, je serai satisfaite.
    
    LADY CAPULET: - Voilà justement le sujet dont je viens l’entretenir. Dis-moi, Juliette, ma fille, quelle disposition te sens-tu pour le mariage ?
    
    JULIETTE. - C’est un emmerdement auquel je n’ai pas même songé.
    
    LA NOURRICE. - Un emmerdement ! Le mot est faible…
    
    LADY CAPULET. - Eh bien, songe au mariage, dès à présent ; de plus salopes que toi, dames fort pratiquées, ici à Vérone même, sont déjà devenues épouses ; si je ne me trompe, j’étais mère moi-même avant l’âge où tu es seule encore. En deux mots, voici : le bien membré Pâris vous recherche pour sa fiancée.
    
    LA NOURRICE. - Voilà un bon coup, ma jeune dame! Réputé dans le monde ...
    ... entier.
    
    LADY CAPULET. - Le parterre de Vérone n’offre pas une bite pareille.
    
    LA NOURRICE. - Oui, ma foi, il a l’une des plus belles du pays, la bite par excellence.
    
    LADY CAPULET. - Qu’en dis-tu ? Pourrais-tu essayer un peu ce gentilhomme ? Ce soir tu le verras à notre partouze ; regarde bien alors le visage du jeune Pâris, et observe bien tout son corps ; contemple la grâce et la beauté de sa bite et de ses burnes ; examine ces traits si bien mariés, et vois quel charme chacun prête à l’autre ; si quelque chose dans son physique ne te convient pas, tout s’effacera soudain lorsque vous copulerez. Ce puissant artisan d’amour, cet amant jusqu’ici contenu, pour être parfait, n’a besoin que d’être excité ! Le poisson brille sur le barbecue, et c’est la splendeur suprême pour une belle gueule de receler une belle bite ; aux yeux de beaucoup, il n’en est que plus magnifique, le livre qui d’un fermoir d’or étreint la légende d’or ! Ainsi, en l’épousant, vous aurez part à tout ce qu’il possède, sans que vous-même soyez en rien diminuée.
    
    LA NOURRICE. - Elle, diminuer ! Elle grossira, bien plutôt. Les femmes s’arrondissent auprès des hommes !
    
    LADY CAPULET,à Juliette. - Bref, dites-moi si vous répondrez à l’amour de Pâris.
    
    JULIETTE. - Je verrai à l’aimer, s’il suffit de sucer pour aimer ! Mais mon attention à son égard ne dépassera pas quelques va-et-vient.
    
    Entre un valet.
    
    LE VALET. - Madame, les invités sont tout nus, le bois bandé est servi ; on vous appelle ; on demande ...
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