1. Roméo et Juliette (d'après William S.) - Acte I, partie 2


    Datte: 21/11/2019, Catégories: fh, grp, Partouze / Groupe traduction, théatre, pastiche, délire, Humour théâtre, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    Résumé : Tandis que font rage les disputes entre les Capulet et les Montaigu, Roméo erre l’âme en peine. Ses amis et lui apprennent qu’une partouze est donnée à la nuit chez les Capulet.
    
    I, 3
    
    Dans la maison de Capulet.
    
    Entrent lady Capulet et la nourrice.
    
    LADY CAPULET. - Nourrice, où est ma fille ? Appelle-la.
    
    LA NOURRICE. - Eh ! par ma virginité de douze ans, je lui ai dit de venir.(Appelant.) Allons, mon agneau ! allons, mon oiselle ! Le Grand Marabout me pardonne !… Où est donc cette salope ?… Allons, Juliette !
    
    Entre Juliette.
    
    JULIETTE. - Eh bien, qui m’appelle ?
    
    LA NOURRICE. - Votre mère.
    
    JULIETTE. - Me voici, madame. Quelle est votre volonté ?
    
    LADY CAPULET. - Voici la chose… Nourrice, laisse-nous un peu ; nous avons des choses à faire en secret…(La nourrice va pour sortir.) Non, reviens, nourrice ; je me suis ravisée, tu assisteras à notre câlin. Tu sais que ma fille est bonne ?
    
    LA NOURRICE. - Ma foi, je puis dire ses mensurations au centimètre près.
    
    LADY CAPULET. - Elle a déjà assisté à vingt partouzes…
    
    LA NOURRICE. - Je parierais vingt bites qu’elle n’a pas fait vingt partouzes… Quand était-ce la dernière ?
    
    LADY CAPULET. – Il y a une quinzaine au moins.
    
    LA NOURRICE. - Au moins ou au plus, n’importe ! Entre tous les jours de l’année, c’est précisément ce soir qu’elle aura sa vingtième partouze. Suzanne et elle – le Grand Marabout garde leurs âmes ! – ont commencé en même temps… Oui, à présent, Suzanne est avec le Grand ...
    ... Marabout. Elle qui était si câline… Mais, comme je disais, ce soir exactement elle participera à sa vingtième partouze. J’en suis sûre ; je m’en souviens bien. Il y a maintenant onze mois que vous l’avez autorisée à partouzer avec vous, je ne l’oublierai jamais, entre tous les jours de l’année, précisément ce jour-là ; car j’avais du sperme au bout de mon sein, et j’étais assise sur un fringant jeune homme ; monseigneur et vous, vous étiez alors à genoux… Oh ! j’ai le cerveau solide !… Mais, comme je disais, dès qu’elle eut goûté le sperme au bout de mon sein et qu’elle en eut senti l’amertume, il fallait voir comme la petite folle, toute furieuse, s’est emportée contre le téton ! Et il y a onze mois de ça ; car alors elle n’avait pas encore essayé le sexe à plus de trois ou quatre ; oui, par le Grand Marabout, elle avait de l’endurance et pouvait en enchaîner tout partout ; car, tenez, la veille même, elle ne s’était pas masturbée ; et alors mon mari, le Grand Marabout soit avec son âme ! c’était un homme bien gai ! la sodomisa tandis qu’elle suçait son frère.Oui-da, lui disait-il,tu as un sacré cul ! Quand tu sauras mieux t’en servir, tu seras vraiment une reine ; n’est-ce pas, Juju ? Et, par le Grand Marabout, la petite friponne cessa de sucer et dit :Ouiiiiiii ! Voyez donc à présent comme une plaisanterie vient à point ! Je garantis que, quand je vivrais mille ans, je n’oublierais jamais ça :N’est-ce pas, Juju ? fit-il ; et la petite folle s’arrêta et dit :Ouiiiiiiiiii ...
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