1. La kermesse


    Datte: 19/03/2018, Catégories: fh, fplusag, religion, poilu(e)s, bizarre, intermast, Oral pénétratio, Auteur: Jean-Christophe, Source: Revebebe

    ... J’en étais presque heureux, heureux mais perturbé par ce nouveau plongeon dans la troisième dimension…
    
    Pas une seule fois ? Oh si ! La dernière fois fut la bonne.
    
    J’étais parti en cuisine chercher des caisses d’orangeade pour ravitailler la buvette. Je farfouillais dans la réserve depuis un bon bout de temps et m’escrimais à faire un peu de rangement, ce que les petits salopiauds qui m’avaient précédé auraient dû faire, s’ils n’avaient été aussi je-m’en-foutistes.
    
    Soudain, j’entendis un grattement derrière mon dos. Je me retourne : c’était Bérengère. Elle se tenait debout devant la porte de la resserre. Immobile, elle me regardait d’un air étrange.
    
    J’ai tout de suite remarqué que ses yeux étaient incroyablement pétillants. Pétillants et vitreux, comme révulsés par le stupre. Plus rien à voir avec sa froideur habituelle. La bête qui était en elle venait de se réveiller, je la voyais, je la sentais.
    
    Soudain, elle bondit sur moi, complètement hors d’elle-même. Elle se jeta de suite sur ma braguette, elle me l’arracha presque, elle était comme folle. Elle me poussa violemment, je retombai lourdement au milieu des caisses dans un fracas d’enfer, mais elle n’en avait que faire.
    
    Mon sexe, d’abord entre ses mains, ne tarda pas à rejoindre sa bouche. Cette furie l’engloutit avec une voracité vampirique. Je disparus dans cette gorge gloutonne. Impossible de ne pas bander, son envie était vraiment trop forte et trop communicative. J’étais littéralement scotché par ...
    ... tant d’ardeur. Divine pompeuse, elle allait me manger entièrement la queue ! Elle se délectait à sucer mon dard avec une lubricité peu commune, le léchant sur toute sa longueur et l’engloutissant en profondeur. Puis elle le frottait langoureusement sur son visage, avant de l’emboucher à nouveau.
    
    Elle s’arrêta net, elle était visiblement dans l’urgence et avait une grosse envie à satisfaire. Elle se releva en troussant grossièrement sa jupe. Toujours en bas et porte-jarretelles, mais cette fois-ci sans culotte, la foune à l’air… preuve qu’elle avait prémédité cette rencontre, cette gourgandine !
    
    Son épaisse toison dévoilée vint à la rencontre de mon sexe et s’empala dessus sans coup férir. Elle l’avala jusqu’à la garde et je dois avouer que cette cavité chaude et humide était particulièrement accueillante. Puis, s’agrippant tant bien que mal aux caisses instables, elle entama un va-et-vient profond et langoureux. Crispée sur le plastique, elle y allait de bon cœur, avec une amplitude obscène. Son visage, où trônaient toujours ses gros boutons juteux, était ravagé par des rictus de plaisir incontrôlable.
    
    C’est alors que j’entendis la porte grincer dans la cuisine… Panique à bord ! Il fallut faire rapidement comprendre à ma comparse que l’heure n’était plus aux joyeusetés. Il fallut aussi calmer ses ardeurs… mais difficile de l’arracher à son désir de jouissance, difficile de la faire revenir sur le plancher des vaches.
    
    Nous étions toujours amarrés l’un à l’autre, ...
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