La vie de château (1)
Datte: 18/11/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... fermais mes yeux, je réussis à me détendre un moment. Les ouvrant, Madame assise sur le bord du transat, je crus bien hurler encore de douleur. J’avais la vision de son sexe glabre sous mon regard d’ado. Je crois qu’elle comprit très vite d’où me venait cette violente douleur. Sa main sur ma joue, penchée sur moi...
— Vous me plaisez beaucoup jeune homme. Vous avez de bonnes et saines manières.
— Madame, je fais mon maximum.
— Je n’en doute pas une seconde, mon jeune ami. Il y a juste cette coquine illumination dans vos jolis yeux bleus aciers et l’endroit où ils regardent qui... Oui, passons.
Sur ma tondeuse, ses vibrations importantes à un certain régime finissent par détendre très agréablement cette tension sur mon pénis. Et, par la même occasion, souiller mon pantalon. Alors je me suis mis à imaginer des scènes saphiques entre Agnès, Madame et Lyse. Lyse qui devait avoir pas plus de 25 ans au maximum. Dans ma tête, j’imaginais ces trois corps nus s’aimant comme des fous dans une chambre remplie de peintures érotiques. J’imaginais Agnès jouissant de ces deux femmes, lui apprenant tout de l’amour au féminin. Mon imagination était alors devenue sans limites.
En toute fin de journée, ma tondeuse propre, le plein fait, le gazon entassé à l’abri des regards dans un compost, je terminais de me laver les mains quand elles sont arrivées.
— Mon ami, je viens de faire un tour dans ma propriété, c’est parfait. Je vous engage. Seriez-vous libre les samedis ?
— Ce ...
... sera avec un immense plaisir, Madame, je veux bien venir vous tondre votre terrain chaque jour qu’il vous plaira.
— Lyse, donnez-lui son salaire. Je vous ai même mis un petit plus, c’est pour arrondir et pour votre excellent travail. Agnès, ma douce, vous avez eu raison de nous l’amener. On se retrouve dans une semaine alors.
— Avec un grand plaisir Madame la Comtesse.
Agnès et moi avons pris congé. Près de nos deux roues, je remis une mèche en place dans la chevelure châtain d’Agnès en caressant sa douce joue. Sur cette même joue, je déposais un doux bisou en la remerciant, je venais de gagner 100 francs sans trop me fatiguer, merci pour le petit plus. Agnès sembla troublée en montant sur sa bicyclette. Mon vélomoteur en roue libre, je l’invitais à s’accrocher à mon bras. En route, je fis le plein et invitais mon amie à un soda dans ce bar que nous affectionnons beaucoup. Je n’osais encore aller plus loin que mon tendre bisou sur la joue de ma belle Agnès.
Le samedi suivant, même heure, nous partions chez la Comtesse. Après avoir salué mon employeuse, j’abandonnais Agnès à ses cours d’anglais et de gaélique écossais. Sur mon tracteur, j’entamais ma journée, emportant avec moi, une cisaille et un râteau pour parfaire mon travail. Tout au fond de la propriété, un bosquet de noisetier un peu trop large, je le taillais au mieux de ma conscience. Près d’un parterre de fleurs, je me mis à arracher les mauvaises herbes et l’arranger du mieux que je le pensais. Je pris ...