La vie de château (1)
Datte: 18/11/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... tondeuse à sa place, je contrôlais les niveaux. Même que la Comtesse, toujours en compagnie d’Agnès, vinrent à ma rencontre.
— Ton ami semble particulièrement à l’aise avec les machines.
— Oh que oui, il adore bricoler les moteurs.
— Oh, voilà qui est plaisant. Jeune homme, je vous propose 15 francs de l’heure et le double si vous prenez aussi soin de mes parterres floraux.
— Je ne suis pas très doué pour les plantes, mais je ne demande pas mieux que d’apprendre.
— Alors, vous pouvez commencer quand ?
— Mais si cela peut vous être agréable, maintenant, le temps d’accrocher la ramasse.
— La ramasse ?
— La remorque qui récupère l’herbe coupée.
— Oh ! Et bien soit, qu’il en soit ainsi. Ton jeune ami me paraît un garçon très bien et fort débrouillard, ma petite Agnès.
— Il l’est, Madame, vous pouvez me croire.
— Prête pour votre leçon ?
Je restais un instant en compagnie de Lyse, la servante. Elle m’aida à accrocher la remorque. Sur mon petit tracteur-tondeuse, il ne me manquait que la musique pour que ce soit parfait. Alors, je me suis mis à chanter des airs entendus à la radio. Un peu avant midi, je n’avais fait que la moitié. Sur la terrasse, Madame et Agnès travaillaient en anglais. Le printemps était bien installé et la température très agréable pour un mois d’avril. À midi, Madame me fait signe de les rejoindre. Autour d’une limonade bien fraîche, nous avons conclu un contrat oral. Agnès semble très heureuse de m’avoir sorti de ma peine ...
... pécuniaire. Et sans elle, je n’aurai jamais connu la Comtesse. Cette jeune veuve de moins de trente ans était belle, majestueuse. La question qui tournait en boucle dans ma tête était de savoir pourquoi venir s’enterrer ici, en Suisse, loin de son château en Écosse. Cependant nul doute qu’un jour, j’aurais la réponse.
Lyse nous servit un repas typiquement écossais, Madame fêtait une victoire de l’Écosse sur je ne sais plus qui, en je ne sais quelle année, une lointaine bataille en tout cas, apparemment aussi une victoire. Agnès me semble très proche de cette femme, elle se permet des gestes sur elle que je n’oserai même pas faire en rêve, comme lui poser sa main sur celle de Madame par exemple. Je me sentais étrangement troublé devant cette complicité. Mon esprit tordu d’ado, encore puceau, y était pour beaucoup. Même avec Lyse, Agnès se comportait avec une certaine familiarité. En me levant après le repas, je m’inclinais devant la Comtesse, je vis alors qu’elle ne portait rien sous sa robe fendue. Mon trouble fut gigantesque, j’en avais une atroce douleur dans mon pantalon et Madame le vit sur mon pantalon et la vilaine grimace sur mon visage.
— Cela va mon jeune ami ?
— Ce n’est rien, votre grâce, une douloureuse tension.
— Rémi, asseyez-vous sur ce transat. Lyse, apportez-moi ma pommade.
— Bien Maîtresse.
Voilà encore un mot qui aurait dû me mettre la puce à l’oreille, surtout qu’Agnès rougit en entendant la réponse de Lyse. Pendant un court moment, je ...