Isabelle ou une « parenthèse » dans ma vie
Datte: 13/11/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
alliance,
fépilée,
campagne,
jardin,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
Auteur: Tonio, Source: Revebebe
... gentiment dans un fauteuil de jardin qui lui tendait les bras.
— Lors de notre premier restaurant…
— Oui ?
— Tu portais quoi son ton corsaire, rien ou un string ?
— Un tampon !
— ???
— Tu sais, les femmes sont indisposées quelques jours par mois, me dit-elle un peu moqueuse. C’était mon dernier jour, c’est pour ça que je n’ai pas voulu baiser avec toi ce soir-là, j’aurais pu te sucer, mais je ne voulais pas que tu me lèches.
J’étais à genoux devant elle, la tête entre ses mains, ses yeux brillaient d’excitation.
— Par contre maintenant…
D’une langue fiévreuse, je redécouvris la douceur de la peau de ses lèvres, passant et repassant autour, dardant sur son clito, elle réagissait immédiatement à cette sollicitation en se tendant, son souffle s’accélérait, elle me tenait fermement la tête sans pour autant lui imprimer de mouvements, je passais encore et encore entre ses lèvres, revenant chaque fois vers son clito pour augmenter son plaisir, je plongeai enfin la langue au plus profond de son sexe, l’embrassant sur les lèvres.
Elle jouit une première fois violemment en tremblant de tout son corps, elle gémissait, m’encourageait, je recommençai inlassablement ne lui laissant pas le temps de respirer, cherchant à la faire jouir encore une fois plus fort que la précédente. Elle mouillait abondamment, replia ses jambes sur son torse, releva les fesses et me poussa la tête vers son anus, je ne réfléchis pas et caressai sa rosette, dardant la langue pour l’ouvrir, ...
... je titillai son clito avec un pouce, enfonçai deux doigts entre ses lèvres, branlai son clito, branlai son sexe, branlai son anus avec la langue.
Elle se tendit comme un arc et hurla sa jouissance, mais au lieu de retomber comme une poupée dans le fauteuil, elle se dégagea, s’agenouilla sur les accoudoirs, agrippa le dossier à deux mains, me présentant les fesses, je pris la première matière grasse à proximité, du beurre, et m’enduit le gland, j’en pris sur les doigts et les enfonçai dans son œillet, élargissant le plus possible le passage.
Puis très doucement j’appuyai mon gland, poussant lentement mais inexorablement pour faire passer le gland, je la sentais se tendre se raidir un peu à cause de la douleur, je la calmai, lui parlai, une fois le gland passé, je poussai plus rapidement, elle sursauta, se tendit, me demanda d’arrêter. J’étais à fond, mon ventre collé contre ses fesses, je lui branlai doucement le clito pour la distraire et repris un mouvement de va-et-vient, plus ample, plus fort, plus rapide, elle gémissait, je ne pensais plus à rien sauf à lui baiser le cul, je cherchais mon plaisir, elle me criait de la baiser, de lui défoncer le cul, je soufflais, haletais, mon cerveau bouillonnait, j’explosai enfin.
Cela dura une minute, une heure, un jour, un an, un siècle, je ne sais plus, je n’avais jamais eu autant de plaisir de ma vie. Je la regardais hébété, mon sexe fiché dans ses reins, je me retirai avec autant de douceur que je n’en avais pas mis pour la ...