Isabelle ou une « parenthèse » dans ma vie
Datte: 13/11/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
alliance,
fépilée,
campagne,
jardin,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
Auteur: Tonio, Source: Revebebe
... qui était à sa portée ; nous ne disions rien, nos mains, nos yeux et nos langues parlaient pour nous le langage de l’amour.
Nous avons fait l’amour tous les jours, partout, aussi souvent que possible, nous passions toutes les nuits ensembles. Au petit matin avant de partir, je la léchais pour garder son goût en bouche le plus longtemps possible.
Notre dernier jour était là, nous ne nous étions rien promis, nous avions discuté de la situation et avions décidé de garder cela comme une parenthèse sexuelle dans nos vies. Je crois surtout qu’elle ne voulait pas faire de peine à sa sœur.
Elle avait préparé un dîner froid sur la terrasse, se doutant bien que l’apéritif puisse durer très longtemps. Elle portait la même tenue que lors de notre premier dîner au restaurant, mais je savais qu’elle ne portait pas de culotte, je lui avais dit que cela m’excitait. Je lui avais dit aussi que les mots crus provoquaient le même effet. Cela semblait tellement dissonant lorsque ces mots sortaient de sa bouche.
Elle se lova dans mes bras, m’embrassant partout, me mordillant le lobe des oreilles, piquant de petits baisers dans le cou, frottant son ventre contre mon sexe raide de désir pour elle. Elle s’écarta, défit ma ceinture et laissa tomber mon pantalon sur mes chevilles, je ne portais pas non plus de sous-vêtements, mon sexe était dressé, impérieux, mon gland était rouge, une goutte d’excitation perlait. Elle se pencha et la lécha, puis s’agenouilla et regarda mon membre sous ...
... toutes ses coutures, le caressa, joua avec le prépuce, tout en léchant mes couilles, elle lécha la hampe, mordilla le gland, l’avala et recommença encore et encore.
Sa langue tournait autour du gland, elle me masturbait d’une main, l’autre explorait mes fesses, un doigt curieux vint toucher ma rosette et s’y enfonça. Elle se mit à me pomper tout en me branlant le cul à la même vitesse. J’écartai les jambes pour faciliter la pénétration, elle glissa un deuxième doigt, je n’étais pas habitué à ce genre de caresse, mais je trouvais cela très excitant. Elle me branlait la queue d’une main, labourait mon cul avec l’autre et pompait mon gland avec avidité. Je soufflais de plus en plus vite, sentais le plaisir comme un courant électrique me prendre dans le bassin, l’anus, les couilles, je sentais que je ne pourrais pas me retenir plus longtemps, je lui demandai, la suppliai d’arrêter, mais elle pompait, branlait, masturbait encore plus fort. J’explosai dans sa bouche, elle avala chaque trait de sperme. Elle garda mon sexe en bouche comme une friandise, jusqu’à ce qu’il fut complètement débandé.
— Je voudrais garder un souvenir de toi, je voudrais que tu me déflores la rosette, que tu me sodomises, que tu m’encules, je suis vierge du cul et je voudrais que tu sois le premier.
Je la pris dans les bras, lui embrassai les lèvres, le nez, les yeux et je recommençai encore goûtant mon sperme dans sa bouche, fébrilement je lui enlevai son top et son corsaire puis je la poussai ...