1. Isabelle ou une « parenthèse » dans ma vie


    Datte: 13/11/2019, Catégories: fh, extracon, alliance, fépilée, campagne, jardin, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, fdanus, fsodo, hdanus, Auteur: Tonio, Source: Revebebe

    ... l’occasion de passer des vacances avec ses parents et Laurence, mais jamais avec elle. Je la voyais nue pour la première fois. Elle était debout, faisant des exercices d’assouplissement vers l’avant, j’avais une vue imprenable sur sa vallée des merveilles. Je me suis mis à bander immédiatement comme un âne, cela en était presque douloureux. Je tenais ma veste en main et la mit fort opportunément devant moi pour cacher mon émoi.
    
    — Bonjour !
    
    J’essayais de rester le plus naturel du monde. Elle se retourna et me sourit. Elle était vraiment superbe, elle avait de beaux seins fermes, couronnés par de grandes aréoles sombres, ses tétons ne pointaient pas particulièrement, sa chatte était partiellement épilée.
    
    — Sois le bienvenu chez moi.
    
    Elle s’approcha de moi tout naturellement et m’embrassa sur les deux joues, je faillis éjaculer sans me toucher, tant la situation était excitante et imprévue. J’essayais de la regarder dans les yeux et de ne pas laisser fureter mon regard sur ses appâts. Elle me demanda des nouvelles de sa sœur, des enfants, de notre vie sur place, j’étais au supplice. Elle semblait faire durer les choses malicieusement.
    
    — Mais tu as peut-être envie de prendre une douche et de te changer.
    
    J’accueillis cette proposition avec soulagement.
    
    — Oui volontiers, le vol a été assez long, je me sens un peu poisseux.
    — Ta chambre est au premier, c’est la seconde porte à droite. Tu as la vue sur le jardin.
    
    Je montai mes affaires et me précipitai dans ...
    ... la salle de bain, en moins d’une minute j’étais nu sous la douche. Je laissai couler l’eau longuement tout en me caressant la queue d’une main, de l’autre je jouai avec mes couilles gorgées d’excitation, je fis coulisser ma main le long de ma tige, jouant avec le prépuce, le frein, tournant autour du gland, ouvrant et fermant le méat et je recommençai encore et encore. Je n’avais pas besoin de phantasmes, dès que je fermais les yeux je revoyais ses seins, son pubis délicieusement épilé, ses fesses, son œillet, sa chatte et à nouveau ses seins.
    
    L’excitation monta brutalement, je sentis mes couilles et mon anus se contracter par spasmes, mon cerveau bouillonnait, je voyais des tâches bleues partout, j’avais la chair de poule, je m’astiquai la queue à toute vitesse et j’éjaculai abondement, imaginant lui faire subir les derniers outrages. Dix minutes plus tard j’étais calmé et habillé. Je la retrouvai au salon, elle portait un top écru, ses seins étaient libres de toutes contraintes, une jupe mi-longue complétait sa tenue, je l’imaginais la chatte à l’air, ma queue se réveillant déjà, j’arrêtai les phantasmes. Le dîner se passa agréablement, j’allai me coucher tôt étant un peu dans le gaz avec le décalage horaire.
    
    La journée du dimanche se passa sans problèmes, il pleuvait, je n’eus donc plus l’occasion de la voir dans sa beauté nature. Je ne la vis presque pas les jours qui suivirent, je partais très tôt le matin pour éviter le trafic, le soir je rentrais assez tard, il ...
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