La punition
Datte: 12/11/2019,
Catégories:
fh,
hotel,
fsoumise,
hdomine,
chantage,
contrainte,
dispute,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
sm,
attache,
baillon,
Auteur: Caroline2, Source: Revebebe
... positions par derrière, me tenant par une main au moins, l’autre caressant les zones sensibles, « défonce » de forcené…
Ce n’est que le jeudi qu’il me demanda de réserver le week-end en huit pour lui.
— Si je compte bien, ta fille sera chez David, tu seras parfaitement libre.
J’en étais très surprise : en sept semaines, je ne l’avais jamais vu entre le vendredi matin et le lundi soir. Après m’avoir fait l’amour, il me dévoila son « plan » : une nuit avec lui et un de ses amis ! Ma réponse fusa :
— Salaud, compte pas sur moi pour ta sale partouze !
Au lieu de se démonter, il répliqua :
— Moi, un salaud ? Je t’ai trompée ? Salope !
Évidemment, j’étais mal à l’aise pour répondre et il ne m’en laissa pas le temps. Il m’expliqua que ni son copain ni lui n’étaient des sadiques (j’avais pu le constater), que c’était son fantasme et peut-être un moyen de « payer ma dette ». Il ajouta que si je préférais, on pouvait le faire avec David.
— Ça m’exciterait de lui montrer que tu jouis mieux avec moi ! Avec la honte qu’il se taperait, il n’oserait plus te proposer la bagatelle, ajouta-t-il.
J’étais sciée. Je me rendais bien compte que « Monsieur » n’aimait pas qu’on lui refuse quelque chose, il était assez charmeur pour obtenir ce qu’il voulait. Depuis le début, je n’arrêtais pas de me dire que j’allais refuser pour finalement me laisser faire. Il s’en rendait parfaitement compte, ainsi que du fait que j’étais folle de lui.
— Tu y prendras autant de plaisir ...
... que nous.
Difficile de rester dans le rejet catégorique. J’essayai pourtant mais sa réponse fut cinglante :
— Dans ce cas, je te laisse t’éclater tout le week-end avec ton ex, si sa grosse pute (c’est comme ça que j’appelais sa nouvelle, que je trouvais assez boudin) te le permet.
J’ai essayé de négocier, lui déclarant que je n’aimais que lui et ne voulais pas d’un autre. Il me moucha en me rappelant que je l’avais pourtant fait cocu, et j’eus l’air très bête. Je lui demandai alors s’il avait déjà fait ce genre d’expérience.
Pour la première fois, il me raconta partiellement sa vie sexuelle. Il avait déjà plusieurs fois pris une femme à deux, notamment une femme de la haute, de quarante-cinq balais, avec son mec – un baron ! –, et une fois il avait participé à une partouze. Il n’aimait que les trios, pas les partouzes :
— Il y a toujours des tarés, et puis une femme peut satisfaire plusieurs hommes alors que le contraire est plus difficile.
Je lui demandai d’y réfléchir tous les deux et d’attendre encore un peu. C’était trop demander !
— Une femme soumise obéit ou bien elle n’est plus soumise, or c’est ça que je veux.
C’était on ne peut plus clair, je devais dire oui ou me faire plaquer ! En dix jours, il s’était comporté normalement, me confortant dans mes sentiments amoureux pour lui, pour mieux me rappeler que j’avais effectivement franchi le point de non-retour. Avec lui, j’étais une femme soumise et obéissante ou je n’étais plus avec lui ! Il ne me ...