1. La punition


    Datte: 12/11/2019, Catégories: fh, hotel, fsoumise, hdomine, chantage, contrainte, dispute, Oral 69, pénétratio, fsodo, sm, attache, baillon, Auteur: Caroline2, Source: Revebebe

    La pendulette marquait trois heures trente du matin, j’étais morte. Comment pouvait-il avoir encore de l’énergie ? J’étais recouverte de sperme, mes cheveux étaient collés sur la droite, j’en avais dans le cou, sur la guêpière, sur les épaules, il y en avait qui avait coulé sur le drap et je m’étais vautrée dedans en dormant. Ça sentait le sperme froid. Michel en rajouta en étalant sur mon corps ce qui traînait sur le drap. Pendant qu’il faisait cela, il avait mis ma main sur son sexe pour que je le masturbe. Il était incroyablement dur, comme son regard d’ailleurs. Je m’efforçai de sourire et il recommença à me sucer. Je me demandais comment il pouvait faire, tant c’était répugnant de glaire, mais il avait l’air d’aimer.
    
    J’étais apeurée à l’idée qu’il me mette le sien dans la bouche, avec son goût de glaire et de sperme froids. C’est pourtant ce qu’il fit en se plaçant en 69 dès que son cunnilingus eut suffisamment réveillé mon plaisir. Je m’aperçus qu’il avait eu la délicatesse d’aller se laver et son sexe avait même un léger goût de savon qui piquait un peu. C’était quand même meilleur que le goût du sperme froid. Je vis sur le côté l’une des cordelettes aperçues dans son sac.
    
    Après le 69, qui me fit beaucoup moins d’effet – dans cette position, je trouve que l’homme est incapable de caresser comme il faut la zone sensible, cela ne m’a jamais rien fait –, il m’attacha les mains dans le dos avec la cordelette puis me mit à genoux. Il se plaça derrière moi et me ...
    ... pénétra. Il me baisa ainsi tout en caressant mon clitoris. Je n’avais jamais été prise dans cette position qui était délicieuse. Évidemment, je dus avouer avoir déjà été attaché (au lit) mais pas avec David. Je dus raconter cette aventure – à 19 ans pendant ma grossesse, après le premier « plaquage » de David, avec un pompier revenu le soir après que j’ai appelé les pompiers dans l’après-midi, officiellement pour une souris dans la maison, officieusement parce que j’avais le spleen, ma grand-mère étant partie pour deux jours à l’enterrement d’une lointaine cousine en province.
    
    Je jouis assez rapidement et il agrémenta mon orgasme d’une caresse anale avec pénétration de son index. C’était très bon mais ça dégénéra :
    
    — Depuis que tu me connais, combien de fois m’as-tu trompé ?
    — Jamais.
    — Menteuse, j’ai parlé avec ta fille, quand David te l’a ramenée le week-end, il y a quinze jours. Vous l’avez couchée et vous êtes allés vous promener ensemble. Bizarre, pour un couple séparé avec perte et fracas. Tu me prends pour un con ?
    
    En pleine jouissance, j’étais sidérée. Évidemment c’était vrai. Depuis trois ans que David m’avait plaquée, il trouvait régulièrement le moyen de me prendre. La plupart du temps je le laissais faire, pensant ainsi le reconquérir. Ma grand-mère me demandait souvent pourquoi je ne me remettais pas avec lui, parce qu’elle l’appréciait. La raison était simple : il ne voulait pas. C’était des coups furtifs, dans la voiture, dans la cuisine une fois, et même ...
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