1. La punition


    Datte: 12/11/2019, Catégories: fh, hotel, fsoumise, hdomine, chantage, contrainte, dispute, Oral 69, pénétratio, fsodo, sm, attache, baillon, Auteur: Caroline2, Source: Revebebe

    ... y ait jouissance. En tout cas, je pus aller jusqu’à un violent orgasme. Avant que je n’éclate, ce beau salaud m’avait dit :
    
    — Jouis et pense à David qui n’a jamais été assez doué pour ça !
    
    Après mon orgasme, il se retira, sans avoir joui, me détacha, me retira bandeau et bâillon, me cajola, me caressa, me demanda si j’avais eu mal – je répondis que non –, si j’avais eu du plaisir – je répondis beaucoup. Il ajouta que ma dette n’était pas encore payée, ce qui me fit froid dans le dos. Il me câlina encore un bon moment et nous nous endormîmes ainsi. Il était près de quatre heures trente, je crois.
    
    Je me réveillai la première vers dix heures trente. J’avais un peu mal à la tête mais je fis le point pendant qu’il dormait encore comme un bébé sage. Il y avait un bon côté. Je m’étais « lâchée », pour mon plus grand plaisir, dans une soumission sexuelle dont je n’imaginais pas, ayant été élevée dans une ambiance féministe, qu’elle pouvait procurer autant de plaisir. Je ressentais une certaine douleur à l’anus, qui me rappelait toutefois que j’avais pris pour la première fois mon pied par-là. Autre point, je n’étais pas tombée sur un sadique, une chance…
    
    Il y avait aussi le mauvais côté : je l’avais vu tel qu’il était. Difficile de voir des sentiments amoureux dans son attitude, seule la recherche du plaisir sexuel le guidait. Je ne pouvais surtout pas m’empêcher de penser que j’avais dépassé le point de non-retour : j’étais devenu son jouet sexuel : il avait employé ...
    ... l’expression lorsqu’il m’avait « baisée par la bouche », volontairement car je l’avais utilisé la première dans les débuts de notre relation en affirmant « Je ne suis pas un jouet sexuel » – c’était plutôt raté. Il y avait eu aussi des humiliations, des larmes qu’il n’avait guère cherché à consoler.
    
    Il se réveilla, et comme il fallait rendre la chambre, nous n’eûmes que le temps de nous laver (c’est surtout moi qui dus me battre pour décoller le sperme de mes cheveux et la résille collée de sperme de ma peau). Nous rentrâmes « à la maison » (de grand-mère) vers seize heures et il me dit simplement « À demain ». Je n’étais pas fâchée d’avoir toute la nuit pour récupérer.
    
    À ma grande surprise, il revint le jeudi an ayant un comportement normal. Aucune allusion à une quelconque soumission sexuelle. Il me suça, me pénétra, me fit jouir tellement fort que je dus mettre mon oreiller sur ma tête pour étouffer mes cris, puis éjacula en moi. Comme il l’avait toujours exigé – en se vexant la première fois où j’étais allée aux toilettes –, je conservai son sperme toute la nuit. En fait il finissait par me couler sur les cuisses ou le drap dans la nuit. Après un petit repos, j’eus droit à une deuxième séance et nous nous endormîmes vers minuit.
    
    Il revint comme d’habitude le lundi suivant et tous les autres jours de la semaine. Il ne me demanda aucune fellation, aucune sodomie, rien de particulier même si sa façon de faire l’amour était déjà très dominatrice, privilégiant les ...