1. A la maison


    Datte: 11/11/2019, Catégories: fhh, cocus, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, hsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... atours comme un magnifique cadeau d’un mari aimant.
    
    Les tests ont été échangés par messagerie. Lise m’a entraîné chez son esthéticienne pour une ultime épilation et du coup m’a persuadé de revoir la mienne. J’ai accepté car je comprends que pour Lise c’est une façon de la conforter dans ses choix. Aurait-elle encore des doutes sur ses envies ? Rien ne le laisse supposer. Elle est toujours aussi chaude au lit et je vois bien que quelquefois ses pensées sont ailleurs. Serge est un peu avec elle ! Mais il est aussi avec moi, alors !
    
    — Encore en peignoir ? dis-je alors que je la découvre pourtant maquillée et parée de ses bijoux.
    — Je ne veux pas prendre le risque de me froisser ou de me tacher.
    
    « Froisser ! Oh ma chérie si tu savais ce que j’ai envie de la voir froissée par d’autres mains que les miennes. » Voilà ce que je pense. Elle ajoute, justement en ouvrant le peignoir :
    
    — Tu avais dit "sexy", tu ne trouves que cela fait trop ?
    
    Elle est telle que je l’avais imaginée. Ce que j’ai choisi lui va comme un gant. Plus que sexy c’est évident. Mais je réponds, assez à côté de la plaque pour ne pas avoir à reconnaître que cela fait sexy mais aussi un peu "pute" :
    
    — Rien n’est trop beau pour toi. Je veux que Serge soit subjugué par ta beauté.
    
    Lise ne cherche pas plus loin. Elle referme son peignoir.
    
    — Merci mon amour. Je ferai tout pour être digne de ce que tu fais pour moi. Va te changer j’ai posé tes affaires sur le lit.
    
    Et en souriant elle ajoute ...
    ... :
    
    — Rassure-toi pas d’habit particulier, juste pour que toi aussi tu sois élégant.
    
    Les minutes qui suivent nous permettent de tout finaliser et c’est à l’heure prévue que l’on sonne. C’est la porte de l’immeuble. Le visiophone nous montre Serge.
    
    — Je vous ouvre. Dernier étage.
    
    Nous nous regardons pendant que l’homme prend l’ascenseur. Si à la guinguette, on peut dire que nous avons été pris par surprise ce soir il est impossible de plaider l’innocence. C’est en toute connaissance de cause que nous attendons l’homme dans l’ascenseur.
    
    Un dernier baiser. Comme un pacte signé.
    
    — Bonne soirée ma chérie.
    — Merci mon amour.
    
    La porte de l’ascenseur s’ouvre. Il est là, les bras embarrassés par un magnifique bouquet et un carton à bouteille.
    
    — Entrez Serge, dis-je en lui montrant notre porte.
    
    Il entre. Lise en face à lui :
    
    — Bonsoir.
    — Bonsoir.
    
    Ils hésitent une seconde et finalement se font la bise.
    
    — Vous avez trouvé facilement ?
    — Oui merci. On pourrait peut-être se tutoyer ?
    — Bien sûr, dit-elle.
    — Bien sûr, j’ajoute.
    
    Il nous tend ses cadeaux.
    
    — Merci elles sont magnifiques.
    — Merci, je complète, acceptant la bouteille de champagne d’une grande marque.
    
    Nous faisons quelques pas dans l’entrée puis franchissons la porte du salon.
    
    Serge regarde autour de lui, découvrant notre chez nous.
    
    — Ainsi c’est lui ! C’est grâce à lui que nous nous sommes rencontrés ! il s’exclame en enrobant d’un geste ce qui nous entoure.
    — Tu as raison. ...
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