Loup y es-tu ?
Datte: 11/11/2019,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
extracon,
extraoffre,
cocus,
Auteur: Bicocu, Source: Revebebe
... près mais ne souhaita pas gâcher l’instant. Finalement, il s’approcha tout doucement et s’assit dans le fauteuil en face des deux amants qui n’interrompirent pas leur baiser tout de suite. Philippe avait glissé un doigt entre les fesses de Lucile qui semblait s’introduire sans scrupule dans le premier orifice qu’il avait rencontré. Lucile ne semblait pas s’en offusquer ; au contraire, elle bougeait le bassin de façon à faciliter cette intrusion. Marc, le visage cramoisi, avait les yeux écarquillés fixant cette première pénétration adultérine de sa femme. Le sang tapait dans ses veines, il sentait son sexe se raidir dans son pantalon et ne pouvait s’empêcher de masser la protubérance qui le déformait. Il commença alors une discrète masturbation quand Lucile se retourna pour le regarder.
— Cochon, qu’est-ce que tu fais ? Veux-tu arrêter ça ! On est juste à l’apéro. Tu devrais plutôt nous servir à boire, les glaçons vont fondre avant d’avoir servi.
Puis, elle se retourna vers Philippe.
— Ne brûlons pas les étapes, mon chou, il faut savoir faire attendre un peu le désir, ça le rend plus fort. On se fera une petite « sieste » après déjeuner. J’espère que tu tiendras le coup jusque-là. Je nous ai fait un lit tout propre.
— Comme tu veux, ma jolie, mais ne t’étonnes pas ensuite si je te saute dessus comme un sauvage. Tu ne perds rien pour attendre.
— Bon quand vous aurez fini de vous dire des mots doux, on pourra trinquer parce que sinon le rôti sera trop cuit et on ...
... n’aura pas pris l’apéro.
L’apéro et le repas se passèrent tranquillement, les trois amis plaisantaient, l’ambiance était détendue. Philippe laissait négligemment une main sur les cuisses de Lucile et il ne pouvait s’empêcher de l’embrasser. Ils semblaient former le véritable « couple légitime » de la pièce. Marc les regardait sans montrer aucun signe de jalousie, il savait que, tout à l’heure, ils iraient s’isoler dans la chambre. Il attendrait dans le salon. Allait-il devoir attendre le départ de Philippe pour pouvoir retoucher son épouse ? Pourrait-il assister à leurs ébats ? Instinctivement, il s’était occupé de tout le service et maintenant le repas terminé, il entreprenait de débarrasser la table. Quand il sortit de la cuisine avec le café, il vit que le salon était vide. Il entendait dans la chambre, dont la porte était fermée, le rire cristallin de sa femme. Il approcha son œil de la serrure, mais la clé était engagée et l’empêchait de regarder. Il appuya délicatement sur la poignée, mais la porte était bien fermée.« Pas le droit de voir », pensa-t-il. Lucile et Philippe chuchotaient et, de temps en temps, il pouvait entendre leur souffle. Il les imaginait nus sur le lit, se caressant. Puis il n’entendit plus que la voix de Philippe alors que Lucile laissait échapper des « hmm » et d’autres bruits de succion. Philippe semblait apprécier l’utilisation d’un vocabulaire descriptif et un peu vulgaire. Ce détail surprit Marc ; il se demanda si ce n’était pas exprès pour lui ...