1. Loup y es-tu ?


    Datte: 11/11/2019, Catégories: h, fh, fhh, extracon, extraoffre, cocus, Auteur: Bicocu, Source: Revebebe

    ... pas parlé que de Jessica et de ton boulot, non ?
    — Non, Marc m’a aussi parlé de… Enfin de lui et de vous, tu vois ?
    — C’est-à-dire ? En détail ?
    — Ben, de son envie bizarre de te laisser coucher avec n’importe qui et d’être cocu…
    — Et t’en pense quoi, toi ?
    — Ben moi, je pense que vous risquez de foutre en l’air votre couple ; c’est un peu chaud, non ?
    — Sauf que je l’aime et que c’est réciproque.
    — Je ne comprends pas, il dit qu’il ne sera pas jaloux, mais quand même, c’est louche.
    — Regarde, je t’ai embrassé devant lui plusieurs fois très près des lèvres et il n’a rien dit. Tu sais ce qu’il attend au fond de lui ? Il attend de nous voir nous embrasser sur la bouche, nous rouler un vrai patin. Je suis certaine qu’il en tremble d’impatience ; qu’il a le cœur qui bat à deux cents à l’heure rien qu’à l’idée de nous voir échanger un vrai baiser.
    — Mais pourquoi moi ?
    — Parce que tu me plais, que tu m’as toujours plu et que je ne crois pas te laisser totalement indifférent. C’est moi qui choisis mes amants, lui n’a rien le droit de dire, juste pour le premier, il a le droit de dire non et…
    — Et il a dit oui, pour moi ?
    — Exact !
    
    Marc revint avec les glaçons dans un petit seau et quelques rondelles de citron dans une petite assiette.
    
    — C’est quoi ces messes basses ?
    — Rien, mon chéri, Philippe me faisait part de votre discussion dans la voiture en venant.
    — Ah, seulement ça… Oh, j’ai oublié les amuse-gueule, je vais les chercher, dit-il en retournant à la ...
    ... cuisine.
    — Philippe, est-ce que tu me trouves moche ?
    — Non, t’es très loin d’être moche. En plus…
    — En plus ?
    — Je te trouve particulièrement en beauté aujourd’hui
    — Comment ça aujourd’hui ? Dis que d’habitude tu me trouves laide !
    
    Lucile prit un air faussement courroucé. Marc, qui revenait de la cuisine, s’arrêta dans l’embrasure de la porte. Il observait, Attendant le moment où ils iraient plus loin.
    
    — Non, Lucile, c’est pas ce que je voulais dire, t’es toujours très jolie.
    — Ah ! Je te plais alors ?
    
    Lucile se leva et tourna sur elle-même à la manière d’une ballerine, ce qui eut pour effet de soulever sa jupe et de dévoiler ses attraits. Philippe ne put s’empêcher de la regarder, il était déstabilisé par la vision fugace ses fesses et de sa culotte. Son trouble grandit.
    
    — Ô oui, tu me plais !
    — Je te fais quel effet ?
    — Tu veux le savoir ? Approche-toi.
    
    Il saisit Lucile par le haut des cuisses et l’assit à califourchon sur ses jambes. Lucile se laissa mener. Dans cette position, elle sentait, entre ses cuisses, la bosse qui déformait le pantalon de son ami. Il l’enserra dans ses bras et approcha ses lèvres de sa bouche pulpeuse et si attirante. Marc assistait à la scène. Il voyait sa femme de dos, les cuisses écartées au-dessus de celles de son ami. Ils s’embrassaient fougueusement. Il voyait une main de Philippe s’aventurer sur les fesses de Lucile et suivre la ficelle du string. Il était troublé. Son cœur palpitait violemment. Il voulut voir de plus ...
«12...567...13»