1. Les moches sont les pires des salopes


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fh, gros(ses), complexe, laid(e)s, sauna, forêt, hotel, amour, ffontaine, entreseins, Oral fsodo, coprolalie, fouetfesse, Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe

    ... les écartai brutalement jusqu’à la limite de l’élasticité de sa culotte et repris ma sauvage incursion. Elle se liquéfia dès lors et je recueillis un peu de sa mouille au creux de ma main dont je vins lui barbouiller le visage. Je menaçai son huis d’un épieu exacerbé qu’elle introduisit dans la fournaise moite de son vagin, associant l’opération à un beuglement de satisfaction.
    
    — Ah, Madame jouait les effarouchées, mais c’est ça qu’elle voulait : un braquemart enflammé pilant sa chatte de traînée libidineuse. Elle jouit, maintenant, la salope !
    
    J’agrippai ses seins que je griffai tandis qu’elle traduisait mes vilenies en contractions de son vagin.
    
    — Oui, oui, oui… défonce-moi comme une garce, comme le mérite la truie en chaleur que je suis.
    
    Elle escorta cette ardente supplique de féroces ruades du popotin, répondant ainsi avec enthousiasme à ma coprolalie. Un vrai délire s’empara d’elle qu’elle me communiqua. Je la limais avec fureur, me cramponnant à son cul que je claquais régulièrement avec vigueur du plat de la main. À chaque fois, elle se resserrait sur ma tige que moi je sentais à chaque fois se dilater en elle. Époumoné, je fulminai :
    
    — Tu aimes ça, pouffiasse, que je te taloche le cul !
    — Oh oui, j’adore, vas-y, fais-moi vivre mille morts !
    
    Elle avait maintenant les fesses rubicondes, balafrées par les deux marques que j’y avais portées mais ce spectacle, plutôt que de m’attendrir, renforça ma rage. J’accrochai ses hanches pour la tirer davantage ...
    ... vers mon ventre et l’investir plus profondément. Prenant appui sur un seul de ses bras, elle vint flatter sa chatte et, dans le miroir, je vis sa sève chaude gicler et se répandre en jets saccadés le long de ses cuisses.
    
    — Ah ! Je mouille, m’écoule et me vide pour toi, c’est divin !
    
    Je m’hallucinai à la surveillance, dans la glace, de ces mamelles folles dansant selon la cadence de mes emportements. Elles se balançaient comme des battants de cloche au matin de Pâques. Je les étreignis et les malaxai cruellement, en saisis le tétin disproportionné pour le tordre et le pincer. Elle râlait d’un râle continu et puissant. J’empoignai son cou pour la forcer à redresser la tête et se regarder dans le miroir. Une extase violente déformait ses traits, une moue effrayante altérait sa bouche, ses yeux étaient presque totalement révulsés. Elle était merveilleusement belle, transfigurée par ses bouleversements. Redoublant mes assauts, à nouveau je frappai sa croupe, et à chaque coup elle se redressait, semblant quérir le suivant ; à chaque affront ses yeux s’exorbitaient et elle se secouait, démente. Elle jouit plusieurs fois pendant que je poursuivais mon infernal pilonnage.
    
    Je la retournai enfin sur la moquette pour l’achever en lui portant le coup de grâce. D’une main trébuchante, elle m’introduisit dans ses bouillants hospices pendant que sans la moindre préparation j’enfonçai deux doigts dans son cul implorant qui les accueillit sans férir. Elle tressaillit à ce geste tout en ...
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