1. Les moches sont les pires des salopes


    Datte: 09/11/2019, Catégories: fh, gros(ses), complexe, laid(e)s, sauna, forêt, hotel, amour, ffontaine, entreseins, Oral fsodo, coprolalie, fouetfesse, Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe

    ... bondes extinctrices. Elle noya mon visage de ces âcres et dives effusions, mais même « Les grandes eaux ne peuvent pas éteindre l’Amour… »(4), et mes derniers doutes quant à ses capacités de femme fontaine de la plus impressionnante espèce se dissipèrent tandis que je me repus du privilège de recueillir ainsi les fruits de mes attentions, me régalant de l’ambroisie. Je reculai un peu pour écarter ses grandes lèvres, contempler le bourgeon encore frémissant de ses émois qui m’évoqua cette expression de Flaubert : « La perle est une maladie de l’huître. »(5) et je fus confondu d’admiration tant par l’huître que par son trésor caché.
    
    — Je t’en conjure, délivre-moi et baise-moi.
    
    Tels mots, en sa bouche, me galvanisèrent. Je défis prestement lacet et cordelette ; elle était pivoine et roulait des yeux égarés.
    
    — Dans l’intimité, à l’avenir je t’appellerai mon sourcier bien-aimé ! expira-t-elle.
    
    Je remontai sa jupe sur ses reins et, la mettant à genoux, caressai son derrière avec mon ventre noué d’ardeurs. Je la limais avec ferveur, mes mains agrippées tantôt à ses seins, tantôt à ses larges hanches, tantôt à ses fesses dont elle faisait ondoyer les chairs dodues au rythme de mes assauts. Elle hurlait, splendide, balançant les rondeurs de sa croupe somptueuse contre mon giron. J’introduisis à charge jusqu’à la décharge. Le cri fut terrible et résonna à l’entour quand elle s’abattit fauchée par l’orgasme. Partageant encore de langoureux câlins, nous nous endormîmes ...
    ... tous deux presque totalement dénudés au pied de l’arbre qui me valut si savoureux supplice. Après une brève promenade dans l’oseraie qui bordait le lac nous rentrâmes à l’auberge, radieux mais épuisés.
    
    — Tous ces ébats et les vapeurs de la matinée doivent me rendre horrible ; permets que je distraie quelques minutes de notre temps si précieux chez le coiffeur.
    — Mais comment donc ! Je ne pourrais pas dîner face à une sorcière, dis-je en fouettant son postérieur d’un coup léger avec le brin d’osier que je rapportais.
    
    —ooOoo—
    
    Ce soir, pendant le dîner, elle ne perdit occasion d’embrasser ma bague à tout propos : c’était puéril et fripon. Ces débordements expansifs d’adolescente amoureuse m’embarrassèrent d’abord, mais ils furent accomplis avec tant de conviction et de grâce, si flatteurs, que très vite je m’en enorgueillis et que j’en vins à me demander qui de nous, était à la fin, l’enfant ? Il me sembla aussi qu’elle s’abandonnait là à des facéties que la triste rigueur de sa vie quotidienne lui refusait, qu’elle se noyait ainsi volontairement, éperdue, dans ce grand bol d’air qui l’étourdissait par sa vivacité. De retour en notre chambre, elle exigea que je lui conte mes anciennes amours, préconisant d’alléger ces récits avec les bulles d’une autre bouteille de champagne. Elle précisa sa requête en ces termes :
    
    — Tu peux édulcorer ; je ne te demande pas même la vérité et ne m’octroie aucun droit de regard sur ton passé. Si des fois tu t’étais comporté en goujat, ...
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