1. La tentatrice infernale (1)


    Datte: 08/11/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Fantasmeur6975, Source: Xstory

    ... Son corps, sa bouche, sa chatte, depuis que je l’avais vue, m’obsédaient. Mais je n’avais pas le droit de craquer. Je devais rester fidèle à mon épouse. Bientôt mon assistante reviendrait et Léona partirait. Je devais tenir jusque-là.
    
    — Sans doute, répondis-je. Mais vous ne faites pas partie de mes fantasmes.
    
    Elle m’offrit un sourire narquois pour me signifier qu’elle ne me croyait pas.
    
    — Et votre mari, dans tout ça ?
    
    Son visage s’assombrit. J’avais touché un point sensible et décidais d’en profiter.
    
    — Vous lui donnez raison. Sa jalousie est justifiée.
    
    — Je ne l’aime plus. Je reste avec lui... parce que je n’ai pas le courage de partir. Et vu qu’il me prend pour une salope, autant l’être, n’est-ce pas ?
    
    — Raisonnement absurde.
    
    — Et puis qu’est-ce que ça veut dire salope ? C’est aimer le sexe ? Tout aimer dans le sexe ? Alors oui, c’est mon cas. Mais plus avec lui. J’ai engagé un jeu de séduction avec vous parce que vous me plaisez. Et parce que je sais que je vous plais également.
    
    — Vous êtes mignonne, en effet. Mais je ne fantasme pas sur vous, je vous le répète.
    
    — Dites-moi que vous n’aimez pas mon cul. Soyez sincère.
    
    Je me sentis fébrile. Son cul. Son magnifique cul.
    
    — Vous êtes bien foutue, c’est vrai.
    
    — Je vous parle de mon cul. Je sais qu’il est parfait. Et je vous ai surpris plusieurs fois en train de le regarder.
    
    — Oui, vous avez un beau cul.
    
    — Nous avançons, dit-elle triomphante.
    
    Il y avait une réelle tension entre ...
    ... nous. Elle fouillait mon regard et je sentais mon sexe gonfler.
    
    — Alors, soyez sincère : quelle pensée obscène avez-vous eu à mon sujet ?
    
    Je voulus lui faire baisser les yeux, la mettre mal à l’aise à son tour, lui faire ravaler sa morgue.
    
    — J’ai imaginé que je vous sodomisais. Directement. Sans avoir échangé de baiser. Juste ça. Même pas vous faire l’amour. Juste vous sodomiser.
    
    Je l’avais atteinte. La romance sexuelle qu’elle imaginait prenait la tournure d’un acte cru.
    
    Je lui envoyais à mon tour un sourire ironique. Elle me toisa, furieuse et me laissa.
    
    J’étais allé trop loin sans doute. Je m’étais laissé prendre à son jeu. Elle avait été maligne, sournoise et m’avait entrainé sur la pente verglacée du désir. Mais je l’avais faite taire. Du moins, le croyais-je. Car le lendemain, elle fit irruption dans mon bureau.
    
    — D’accord, lança-t-elle.
    
    — Pardon ?
    
    — J’accepte votre proposition.
    
    — De quoi parlez-vous ? demandais-je, alors que j’avais parfaitement compris de quoi il en retournait.
    
    — La sodo.
    
    — Ce n’était pas une proposition. Juste une élucubration. J’ai joué le jeu, c’est tout.
    
    — Bon, eh bien moi je suis d’accord pour faire comme vous avez dit. Je n’ai pas arrêté d’y penser. Et je me dis que ce serait une expérience.
    
    — Sortez.
    
    — OK, dit-elle.
    
    Elle se retourna, se pencha en avant pour ajuster sa chaussure et remonta sa jupe. Je pus voir son cul, nu, offert, parfaitement proportionné et sa chatte tendue vers moi
    
    — Léona !
    
    — ...
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