1. Le lit


    Datte: 08/11/2019, Catégories: f, ff, fhh, ffh, frousses, couplus, extracon, voisins, Collègues / Travail cérébral, noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, double, fsodo, jouet, sorcelleri, fantastiq, Auteur: Balamat, Source: Revebebe

    ... semblable aux précédentes, et se leva.
    
    — Et bien allons-y alors !
    
    Il avait dit cela sur un ton sec, et Valérie se demanda un instant s’ils allaient la prendre là, dans ce bureau.Je verrai bien si Simon porte une marque de naissance sous le nombril, alors.
    
    Elle se leva aussi, enchantée par cette perspective, mais Pierre lui tourna le dos et sortit vers la grande salle. Simon lança un dernier sourire, un peu ennuyé, et suivit son ami. Le téléphone sonna alors que Valérie allait les rejoindre.
    
    — Ils se donnent le mot aujourd’hui…
    
    C’était un bon client. Vendeur cette fois d’une collection de chaises défraîchies mais que Valérie saurait confier à des mains expertes. Un contrat juteux, mais elle écourta la conversation sous un prétexte fallacieux. La perceptive d’une double fellation s’était toutefois éteinte quand elle entra dans la salle. Pierre et Simon emportaient deux consoles que Pierre venait de régler.
    
    Pierre lui demanda avant qu’elle n’ait eu le temps de dire quoi que ce soit :
    
    — Sais-tu comment alléger le buffet ? On n’arrivera pas à lui faire monter trois étages sinon.
    
    Bien sûr qu’elle savait. Le système était simple, astucieux et bien caché. Quatre chevilles de fer à tirer pour pouvoir désolidariser le couvercle, puis les quatre portes pouvaient être dégondées. Elle le montra aux deux hommes qui parvinrent à amener le tout dans le camion en trois allers-retours. Pendant ce temps, Valérie enleva les tiroirs d’une commode afin que les hommes ...
    ... puissent l’emporter à son tour.
    
    C’est alors seulement qu’elle repensa au string qu’elle avait caché à l’arrivée de Simon et Pierre. Il était encore sous l’oreiller et le lit était le dernier élément qu’ils devaient emporter.
    
    — Attends, je vais t’aider.
    
    Flûte ! Simon !
    
    — Non c’est bon, je vais m’en occuper. Aide Pierre avec les tiroirs plutôt.
    — Tu sais il est grand, il saura le faire tout seul, et nous sommes assez pressés. Je dois ramener le camion rapidement. On gagnera du temps.
    
    Joignant le geste à la parole, Simon attrapa un oreiller.
    
    — Ah, qu’est ce que c’est ? Quelqu’un a perdu un trésor ?
    
    La dernière précision sonnait faux. Simon regardait Valérie droit dans les yeux. Ses yeux glissèrent le long de son cou vers son décolleté. Le peu de dentelle du soutien-gorge qu’il devinait confirmait son hypothèse. Il tenait au bout des doigts le tissu qui manquait à Valérie. Il lui échappa.
    
    — Qu’est ce que tu as trouvé encore ? demanda Pierre qui venait de lui subtiliser l’étoffe.
    
    Le cœur de Valérie s’emballait.
    
    — Rends-le moi ! S’il te plaît…
    — Je vois que vous vous entendez bien. J’ai eu peur au début. Je te trouvais distante.
    
    Pierre se colla à elle.
    
    — Non, enfin, vous m’avez surprise.
    — Tu t’occupais de toi ?
    — Je… Oui.
    — Il faut qu’on se fasse pardonner alors, non ?
    — Euh oui. C’est même indispensable.
    
    Valérie reprenait confiance. Elle tendit les lèvres et Pierre l’embrassa à pleine bouche. Valérie tendit la main à Simon et l’attira vers ...