1. Le lit


    Datte: 08/11/2019, Catégories: f, ff, fhh, ffh, frousses, couplus, extracon, voisins, Collègues / Travail cérébral, noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, double, fsodo, jouet, sorcelleri, fantastiq, Auteur: Balamat, Source: Revebebe

    ... défendre. Avant de revenir vers la salle, elle inspecta les deux bureaux, dans lesquels tout semblait en ordre, si ce n’étaient quelques papiers qui débordaient de leur corbeille dans le bureau de Françoise, alors qu’elle était une véritable maniaque des piles qu’elle faisait carrées, sans que le moindre papier ne dépasse. Elle les replaça sans y porter plus d’attention.
    
    Elle revint dans l’entrée. Elle se souvenait parfaitement comment elle avait engagé l’alarme la veille pendant que Pierre et Émilie l’attendaient sur le trottoir. De même, elle l’avait débranchée quelques minutes auparavant. Elle en était sûre. Elle n’avait pas été assez rapide et un cri avait eu le temps d’aller mourir dans la sirène.
    
    Elle revint plus confiante dans la grande salle. Les objets les plus précieux, dont quelques très anciennes horloges et bijoux, étaient exposés dans une vitrine dans le couloir à l’entrée de cette salle. Rien n’y manquait. Si des voleurs étaient venus ils n’auraient pas laissé tomber une telle occasion. De même le coffre situé à l’arrière du bureau de Françoise était intact. Elle ne disposait toutefois pas de la combinaison pour vérifier s’il était plein.
    
    Elle fit un tour complet dans la salle. Elle y était apparemment seule. Elle remit donc en place les meubles en cherchant une explication logique à l’ouragan qui avait si proprement dérangé. Quand elle eut finit elle avait finalement perdu près d’une heure. Le lit l’avait appelée pendant son ménage. Elle avait ...
    ... résisté à ses appels mais pouvait sereinement craquer, enfin. Elle devait craquer rapidement même, car ensuite elle risquait d’être surprise par Françoise ou un client. Elle sauta dans le lit et se roula dans les draps. Comme un remerciement, une douce chaleur l’envahit. Elle se félicita de ses choix vestimentaires. Elle avait opté pour une veste de tailleur qu’elle pouvait porter directement sur la peau et qu’elle retira bien vite, d’une jupe à volant qui se plaça en ceinture immédiatement sous laquelle elle portait des bas autofixants et un string arachnéen de dentelle noire assorti à son soutien-gorge.
    
    Les draps la caressaient furtivement. Le désir montait en elle. Elle commença par se caresser la poitrine avec les draps de soie. Son corps appela des attouchements plus directs. Elle retira son string et chevaucha un des oreillers. Elle prit ses seins à pleine main.
    
    — Hummmm…
    — Bonjour ? Y a t’il quelqu’un ? Oups ! Pierre !
    
    Mais que faisait-il là de si bon matin ? Pas possible d’être tranquille une demi-heure.
    
    Valérie aperçut sa veste. Elle se jeta à l’intérieure et appela.
    
    — Oui, je suis dans la salle. Je préparais le lit.
    
    Son string traînait en évidence au milieu de ce dernier. Elle l’enfonça sous un oreiller puis avança à la rencontre de son voisin.
    
    — Bonjour.
    
    Un autre homme accompagnait Pierre.
    
    — Valérie, Simon. Simon, Valérie.
    
    Simon était un gaillard taillé dans le marbre. Carrure de rugbyman, regard clair, il avait tout pour plaire. Mais ...
«12...91011...»