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Et vive le printemps!
Datte: 07/11/2019, Catégories: h, hplusag, jeunes, inconnu, caférestau, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Marcfauwel, Source: Revebebe
... me désigna d’un geste la porte marquée d’un grand «M » en majuscules gothiques. Je lui retournai son sourire et la dévisageai tout en calculant mentalement que j’avais probablement vingt ans de plus qu’elle. Son corps me semblait proche de la perfection à un point que j’en frémissais de désir. Sa chemise large dissimulait ses seins dont on ne pouvait guère évaluer la forme mais du moins pouvait-on en deviner le volume, lequel paraissait tout à fait formidable et parfaitement proportionné. La ceinture de la petite jupe soulignait la finesse de la taille et dans le même temps ce vêtement était si court et les gambettes si longues qu’il en résultait une disproportion sidérante qui faisait que la jupette en paraissait encore plus exiguë, presque inexistante. N’avait-elle pas fait erreur ? Dans sa hâte et stressée par son premier jour de travail, n’avait-elle pas enfilé la jupe de sa sœur cadette ? En tout cas, on pouvait le croire… Je ne sais si elle lut la convoitise dans mon regard mais je la désirais tellement que j’aurais voulu la posséder sur le champ, là dans l’une des toilettes. Mon désir me rendait fou. Pendant ce temps, la fille continuait de sourire désignant toujours la porte des WC messieurs. Pourquoi n’ai-je pas eu l’audace d’au moins lui demander de me permettre de la toucher ? Je m’imaginais la caressant, sur les fesses ou sur sa chatte et sentais presque physiquement les reliefs de cette fente démoniaque que je devinais au travers du tissu de sa petite culotte. ...
... Cette petite culotte que j’avais presque sous le nez et que je voyais encore distinctement du fait du jeu des transparences ravivées par le filet de lumière qui filtrait depuis la cuisine par la grande porte entrebâillée. Cela me donna le loisir de contempler à nouveau le profil d’un entrecuisse aguichant où je subodorais une chatte coquine sinon humide. Je me demandai encore une fois si elle se rendait compte du spectacle qu’elle offrait. Finalement, la gêne devenant palpable, je me résignai à pénétrer dans le local exigu destiné aux humains dotés d’un appendice qu’on appelle parfois une queue. Je défis ma ceinture avec précipitation comme si j’ouvrais une soupape, baissai mon caleçon jusqu’au milieu des cuisses et constatai les dégâts. En saisissant ma bite, je la sentis pulser entre mes doigts, un filet argenté s’écoulait depuis le méat. J’étais près d’exploser et n’eus que le temps de dégager le gland avant qu’un orgasme violent se déclenche. J’éjaculai de longs jets denses et puissants, m’imaginant œuvrer sauvagement la jeune fille à la petite culotte noire. Cela me soulagea. Mais quel gâchis ! Je revins au salon. Nathalie m’attendait, à nouveau souriante. La dimension du temps n’est pas la même pour tous. Ce long calvaire que je venais d’éprouver n’était pour elle que trois ou quatre minutes d’attente ennuyeuse. Sans me rasseoir, je l’invitai à lever le camp. Avant de partir je balayai la salle du regard, espérant voir une dernière fois ce jeune tendron duquel je ...