Et vive le printemps!
Datte: 07/11/2019,
Catégories:
h,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
caférestau,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Marcfauwel, Source: Revebebe
... entre les deux femmes contribua singulièrement à accroître mon excitation.
Tout au fond du salon, à une dizaine de mètres devant moi, il y avait deux tables très hautes dont l’une était occupée par deux jeunes femmes. C’était la petite nouvelle qui s’en occupait. Je voyais très bien cette table très haute ainsi que la gamine qui devait s’étirer pour servir ou débarrasser, dévoilant chaque fois un petit peu plus de ses incroyables cuisses blanches et bien galbées. J’étais fasciné et taraudé par le désir de voir sa petite culotte, ce en quoi je fus très vite exaucé. La petite culotte était noire et minuscule. Ce n’était pas un string mais c’était tout comme car elle s’enfonçait profondément dans la raie des fesses, les laissant dénudées à plaisir. Sa chair blanche me plaisait, contrastant avec le jardin automnal de la jupe.
À quelques pas de nous, il y avait une autre table, collée à la grande vitre donnant sur la rue. La nouvelle serveuse vint la débarrasser alors que Nathalie et moi parlions sports - mon amie aime le tennis. Pour ce faire, la jeune fille dut se pencher, ce qu’elle fit sans gêne, me procurant encore une vision particulièrement excitante de son anatomie, et apparemment sans en avoir conscience le moins du monde. Probablement en raison de tous ces va-et-vient, sa petite culotte s’était si bien installée dans la raie que je pus voir toute la partie inférieure de ses belles fesses nues, charnues et bombées, ainsi que les deux délicieux plis qui se forment ...
... à la jonction avec les cuisses. Ce spectacle s’étalait sous mes yeux à moins de quatre mètres de distance, sans même que j’aie à faire le moindre effort pour y assister. C’est à ce moment que je ressentis les premières pulsations de mon sexe.
Tout ce spectacle avait naturellement lieu pendant que Nathalie et moi mangions tranquillement nos salades printanières. Je me doutai que mon amie avait elle aussi remarqué l’étonnante présence de la petite nouvelle, je lui adressai un regard chargé de sens auquel elle répondit en utilisant l’adjectif "désinvolte". Par suite, je n’avais plus aucun doute, elle en était jalouse et cela aurait été une impolitesse de ma part que d’insister sur le sujet.
À ma déception, la fille avait terminé de débarrasser sa table mais entre-temps elle se rendit compte que nous avions à peu près fini, si bien qu’elle s’approcha pour s’enquérir de nos besoins. Ses magnifiques cuisses placées à quelques millimètres de ma main gauche, sa petite jupe flottant à quelques centimètres au-dessus du bord de la table, elle s’enquit pour savoir si nous voulions commander un dessert ou un café, accompagnant sa question d’un mignon sourire plus innocent que commercial. Nathalie, sans doute écœurée, s’adossa ostensiblement à sa chaise, en s’éloignant de ces deux redoutables atours. Quant à moi, je fixai le visage de la serveuse et me pinçai la cuisse de peur que mon regard ne glisse vers la chair offerte.
En me remémorant la scène, je ne comprends toujours pas ...