Et vive le printemps!
Datte: 07/11/2019,
Catégories:
h,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
caférestau,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
Auteur: Marcfauwel, Source: Revebebe
... comment cette fille pouvait garder autant de naturel en se sachant ainsi exposée. À moins que pour elle le terme "exposé" n’ait qu’une signification beaucoup plus légère en saison chaude ! Le fait est que je pouvais, à travers le fin tissu de sa jupe, voir la convexité de sa petite culotte à la hauteur de la chatte. Même sans le voir, j’imaginais le trait séparant les grandes lèvres. Était-il long ? Allait-il très loin entre ses cuisses ? Mon imagination me transportait vers des sommets lubriques. Je l’imaginais baisant lascivement avec un éventuel amoureux de son âge. Languissante, à quatre pattes sur un grand lit, elle lui offrait sa chatte épilée ainsi que son petit cul avide, tous deux simultanément exposés grâce à son dos bien cambré. Dans mon fantasme, l’amoureux imaginaire choisissait le dernier, le léchait goulûment et y enfonçait son gros pénis, faisant gémir la jeune femme qui n’en réclamait pas moins en retour qu’on la défonce encore et encore comme une petite salope.
Je me suis rendu compte que je ne voulais pas la laisser repartir et qu’il me fallait la retenir à tout prix à notre table. Je me suis donc mis à lui poser mille questions sur ses études, sur son travail, sur sa famille et sur la ville… pendant que Nathalie s’impatientait, quoiqu’elle restât silencieuse, le regard tourné vers l’extérieur face à l’animation de la rue qu’on apercevait par la grande vitre. C’était plus fort que moi, j’étais à la merci de cette gamine dont la voix, les gestes et le ...
... regard m’enchantaient et m’excitaient de plus en plus.
Se rendait-elle seulement compte que sa jupe était complètement transparente ? me demandais-je. Que je voyais non seulement le haut de ses cuisses, mais aussi tout le pourtour de sa petite culotte noire, dont l’élastique ne formait plus qu’une mince ficelle posée sur ses hanches ? Question muette que je ne pouvais évidemment pas lui poser. Hélas ! Trois fois hélas ! D’autant qu’apparemment je n’avais pas le moindre indice qu’elle s’intéresse à moi. Je ne pouvais donc pas la retenir plus longtemps.
— Nous prendrons un dessert et un café…. C’est à dire, moi je prendrai un dessert et un café, rectifiai-je, devinant que Nathalie ne voulait rien.
Cette dernière restait silencieuse et ne m’adressait plus un seul regard.
J’ai siroté mon café et dégusté mon dessert par petites bouchées, faisant durer dans l’espoir de revoir la petite nouvelle mais elle ne reparut pas. Je bandais comme un taureau, sentant les pulsations de ma queue. Cela ne pouvait pas se terminer comme ça, aussi simplement, me disais-je, il me fallait absolument la voir encore une fois. Une dernière fois !
Une opportunité survint : les toilettes. Je me levai et me dirigeai vers le petit vestibule sombre qui les desservait. On accédait aux WC dames et messieurs après avoir franchi une grande porte en acier. Je tombai bien sûr sur la jeune fille qui venait d’entrer. Elle me reçut en souriant, plantée sur ses jambes interminables légèrement écartées et ...