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Aventure au bois de Boulogne
Datte: 06/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Roxannets, Source: Hds
... de l’autre me saisi par l’arrière du cou sans brutalité mais fermement, l’amenant à ma bouche. Je refusais à nouveau en maintenant les lèvres fermées, mais la pression sur mon cou se fit très insistante, et je dus ouvrir la bouche où il déversa l’alcool doucement et régulièrement pour que j’avale les gorgées brûlantes, tandis que les autres disaient « allez allez ! ». J’avais la gorge en feu, et je sentais l’ébriété grimper en flèche à chaque minute qui passait. La tête me tournait et je ressentais une sensation de chaleur dans tout le corps. Je ne pris même pas conscience qu’ils m’avaient resservie et me laissais à nouveau remplir la bouche de ce whisky bon marché en m’étouffant presque parfois sur des gorgées. J’étais à présent complètement éméchée et ma vision se troublait presque. Je sentis que des mains me caressaient les seins et on me retira mon top, les bras levés. Ils parlaient à voix basse et je me retrouvais allongée en arrière sur le matelas. Des mains défaisaient mes chaussures, une langue s’enfonça dans ma bouche et mes seins étaient malaxés dans tous les sens. Je sentis qu’on tirait sur le rebord de mon legging et il me fut retiré en même temps que le string. Quelques murmures me parvinrent où j’entendis le mot « trans », mais on me déplaça en longueur sur le matelas et on m’écarta les jambes pour avoir accès à mon cul et des doigts commencèrent à me titiller l’anus. J’avais la tête qui tournait tellement que je perdis ...
... l’équilibre lorsqu’ils me retournèrent pour me positionner en levrette mais ils assurèrent la position. Un vint se placer assis face à moi et me poussa le visage sur son gros sexe tout raide et ses couilles. Il sentait très fort de l’entrejambe mais je me mis à les lui lécher docilement. Des mains me trayaient les seins comme des pis de vache en étirant les tétons et une bouche trempée se mit à me dévorer le cul. L’homme que je léchais saisit sa bite pour me la mettre en bouche et je le suçais comme je pouvais, malgré la tête qui me tournait comme jamais. Des sons de capotes que l’on ouvre, et une première grosse bite se présenta sur mon orifice visité il y a peu. Elle y entra sans trop de difficulté et l’homme se mit à me limer le cul lentement, prenant le temps d’entrer patiemment son membre jusqu’au bout. Une autre bite encore plus odorante pris la place du premier dans ma bouche, lui à genoux et me relevant la tête et les épaules pour pouvoir emboucher sa grosse queue encore à demi molle, qui ne tarda pas à m’emplir la bouche tellement elle était large. Je recevais régulièrement des claques modérées sur les fesses et les seins, et celui qui me sodomisait accéléra le mouvement, avant de laisser sa place à un autre, qui s’enfonça avec empressement dans mon trou du cul dilaté. Il haletait en me bourrant les fesses, et se plaça à califourchon sur mon cul pour limer plus loin et plus fort. Sous ses mouvements puissants, mon corps entier était secoué et mes ...