1. Aventure au bois de Boulogne


    Datte: 06/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Roxannets, Source: Hds

    ... m’avoir gratifiée d’une tape sur le cul et d’un « merci grosse chienne ».
    
    Je me retrouvais seule à sucer l’inconnu, qui soudain m’appuya sur la tête pour me pencher en levrette, visage au sol hyper cambrée, et partit se placer derrière moi.
    
    Mais alors que je m’attendais au même traitement que précédemment, je sentis une main ferme saisir mon sexe et mes couilles et les tirer fort vers l’arrière et l’homme dire : « mais t’es un gros PD en fait toi ! Une pédale déguisée en gonzesse... je me suis fait sucer par une tarlouze ! ».
    
    J’eu un peu peur pendant un moment car il me tirait très fort sur les couilles, mais il relâcha et me demanda si j’avais une capote parce qu’après tout, au point où il en était, il allait m’enculer pour ne pas mourir idiot.
    
    J’en pris une dans mon sac et la lui tendis par derrière sans me retourner à sa demande.
    
    Il l’enfila, me sodomisa sans ménagement et sans un mot, m’écartelant l’anus avec son pieu très large, en me faisant râler la tête dans les feuilles mortes.
    
    Il joui dans un grognement sourd et se releva en m’intimant de ne pas bouger.
    
    Je restais donc, ainsi le cul cambré et sûrement très dilaté, jambes écartées les couilles pendantes, les seins aplatis sur le sol humide.
    
    Avant de repartir, il dit : « tiens PD, ça c’est pour m’avoir trompé sur la marchandise » et je sentis d’interminables jets de pisse brûlante venir s’épandre sur mon cul, mon entrejambe, mon dos et jusqu’à mes cheveux.
    
    Il se rajusta et reparti.
    
    Je me ...
    ... relevais alors un peu endolorie, des filets d’urine ruisselant sur mon visage par ma tignasse imprégnée, mon petit haut et mon string complètement trempés de pipi odorant.
    
    J’hésitais à rentrer après cette séance, en enlevant le top pour ne porter que la veste et sans culotte sous le legging, mais j’étais très excitée malgré tout par cette humiliation.
    
    Je remis donc juste le legging, difficilement car j’étais mouillée, et gardais le string et le top trempés avant de reprendre ma course.
    
    Plus loin je croisais pas mal de marcheurs et joggeurs qui pour certains semblaient m’observer assez fixement au passage.
    
    Arrivée vers le bout du lac, je pris le chemin d’en faire le tour par l’autre rive, toujours par les bois, et de ce côté la forêt était bien plus dense et moins fréquentée, avec des sentiers étroits qui semblaient mener vers des coins encore plus denses.
    
    Fatiguée de jogger, je marchais tranquillement et en m’arrêtant je pus comprendre pourquoi on me regardait parfois avec insistance.
    
    Le débardeur trempé de pisse et la transpiration ne cachait rien de mes seins nus à présent moulés à l’extrême et les tétons très apparents.
    
    Mon entrejambe humidifiée par le string formait une auréole et mes cheveux était très mouillés.
    
    Tout ceci pouvait être pris pour un excès de sudation, mais c’était quand même assez voyant.
    
    Je bifurquais alors par un sentier étroit et tombais sur une drôle de hutte de fortune fabriquée à l’aide de branchages et d’un genre de bâche ...
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