Aventure au bois de Boulogne
Datte: 06/11/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Roxannets, Source: Hds
... disposée comme un toit, sous laquelle j’entendais des voix.
Prenant garde de ne pas déranger une éventuelle réunion qui ne me regardais pas, je tentais de passer à proximité sans bruit, mais les craquements étaient inévitables et le visage d’un homme noir se montra soudain dans ma direction qui en cherchait l’origine.
Il dit quelque chose que je ne compris pas et c’est quatre blacks qui sortirent de la cabane.
Aussitôt je les saluais et annonca que je ne faisais que passer sans vouloir les déranger.
Ils me dévisagèrent et s’approchèrent en me disant que non, que j’étais la bienvenue parmi eux et m’invitèrent à faire une pause pour me reposer.
Je refusais poliment, prétextant que je n’étais pas fatiguée mais ils me ceinturaient à présent, et un pris mon bras sans brutalité mais avec fermeté pour m’inciter à les suivre.
Je tentais de me dégager doucement de cette emprise mais un autre me saisit l’autre bras et ils m’entraînèrent vers la cabane de branches où je pénétrais en baissant la tête. Au sol se trouvait un vieux et grand matelas sur lequel je fus invitée à m’asseoir.
Je m’assis donc un peu inquiète et ils firent de même très souriants, me disant qu’il fallait que je me détende car c’était juste pour partager le verre de l’amitié.
Ils étaient tous en survêtements et joggings, et deux bouteilles de whisky trônaient dont une à demi vide dans un angle.
Un pris un gobelet neuf et le remplit presque à ras bord de whisky et me le tendis, tandis que ...
... les autres se servaient.
J’exprimais en riant jaune ma légère désapprobation sur le breuvage alcoolisé pour faire du sport et la quantité dans le verre, mais il insista en me disant que je ne voulais certainement pas les vexer en refusant le verre de l’amitié.
Alors on trinqua en se présentant et, étais-ce la fraîcheur qui se ressentis une fois posée sans mouvement ou la gorgée d’alcool fort que je dus ingurgiter, mais j’eus un grand frisson qui me parcouru l’épine dorsale et me fis tressaillir, à leur grande hilarité devant ma grimace qui l’accompagna.
J’allais reposer mon verre, mais mon voisin qui me l’avais tendu m’en empêcha, en m’invitant à le terminer « pour me réchauffer ».
Sollicitée par les quatre hommes de manière enjouée mais déterminée à ce que j’obtempère, je fus forcée de boire tout le verre.
En effet une grande chaleur m’envahissait à présent, et ils commencèrent à me poser plein de questions, d’où je venais, ce que je faisais dans la vie, si j’avais un mari etc.
Ils plaisantaient beaucoup, me faisaient beaucoup de compliment sur mes yeux, mes cheveux, mon sourire et ma bouche, ainsi que sur mon corps et mes formes.
Puis il me resservi un plein verre et ils m’encouragèrent à le vider d’un coup, comme ils s’apprêtaient à le faire avec les leurs, mais je prétextait que cela ferait bien trop pour moi, déjà que le précédent risquait d’avoir des effets sur moi.
Ils ne l’entendirent pas de cette oreille et mon voisin pris le verre d’une main et ...