1. Fêtes dans le Sud-Ouest


    Datte: 06/11/2019, Catégories: fh, fplusag, caférestau, pénétratio, occasion, Oral Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... changer de joue, me dit « Tu vas me manquer. » Il me fait fondre.
    
    Je m’éloigne en reculant. Je le fixe. J’ai sans doute l’air triste. Je ne voulais pas répondre que lui aussi allait me manquer. Il aurait entendu les sanglots dans ma voix. Je manque de trébucher. Je dois avoir l’air ridicule. Je me rétablis et le regarde. Il avait déjà fait un pas dans ma direction pour me secourir. Je continue de m’éloigner, mais cette fois je lui tourne le dos. Si ne n’étais pas mariée, si j’étais infidèle, si je m’écoutais… Mais je dois rentrer. Je me retourne malgré moi. Il me suit du regard. Je vais tourner à l’angle de la rue et ce sera terminé.
    
    Je m’arrête et lui fais signe de venir. Il avance vers moi d’un pas résolu. Sa silhouette s’approche sous le soleil naissant.
    
    — Ça ne va pas ? Tu as un problème ?
    — Je crois, oui. J’ai accepté trop de verres ce soir. Je suis un peu pompette.
    — Tu veux que je te raccompagne ?
    
    Je ne suis plus fatiguée. D’un coup je me redresse sur mes jambes et m’approche de lui. Je le rejoins pour que nous soyons côte à côte, je passe un bras sous le sien pour qu’il me soutienne.
    
    — Je n’habite pas loin. T’es gentil.
    — Personne ne m’attend, moi. J’ai bien cinq minutes.
    
    Nous marchons silencieusement. Le jour se lève. J’aime son contact. Sa sueur m’enivre. La mienne colle. Je ne sais pas pourquoi, mais j’aime être tout près de lui.
    
    Le porche de notre maison est sur la droite, à quelques pas. Ce sera bientôt fini. Je tape le code. Un bruit ...
    ... sec. Je pousse la lourde porte. Je franchis le pas. Il me suit, toujours en me soutenant. L’escalier est au fond de la cour intérieure. Je n’ai plus que quelques mètres à faire.
    
    Je lâche son bras pour me suspendre à son cou et le remercier d’une bise.
    
    Jacques prend mon visage entre ses mains. Il me fixe, me transperce, me subjugue. Quand il pose ses lèvres sur les miennes, je sens un frisson remonter le long de ma colonne. Je dois partir mais j’ai envie de sa langue, juste un peu, pour goûter. Il a compris et me fouille la bouche. Des mains veulent découvrir mon corps poisseux. Elles s’insinuent sous mon tee-shirt et se glissent jusqu’à mes seins que je sens douloureux. Nos langues dansent, ses mains jouent avec mes tétons. Il faut que je parte, mais je voudrais qu’il me touche encore un peu, rien qu’un peu, et après je partirai.
    
    Ses mains ont quitté mes seins et me parcourent le dos. Sa langue est sortie de ma bouche pour visiter mon cou, mes oreilles, mon menton. Il reprend ma bouche. Ses mains sont folles ; je les sens descendre sur mes fesses. Je dois partir, mais laissons-le aller un peu plus bas. Oui, là, sur mon cul. Bon Dieu, que c’est bon ! Ses mains sont puissantes, directes. Sa langue me titille les seins et ses mains continuent leur voyage. Il a déboutonné mon short. Je vais le laisser faire encore un peu. Je lui passe mes mains dans les cheveux, chastement. Je suis une femme mariée.
    
    L’air frais sur mes fesses. Mon short est tombé. Me voilà en culotte, le ...
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