Une mégère apprivoisable
Datte: 02/11/2019,
Catégories:
fh,
handicap,
amour,
dispute,
Oral
préservati,
pénétratio,
amourcach,
Auteur: Ludovic Sante, Source: Revebebe
... À la seconde question : « Je ne sais pas encore ». Ça lui a semblé bizarre. Je n’ai pas osé rajouter « mais je ferai tout mon possible pour que ça se fasse ». Tu vois, ça te laisse quand même un maigre espoir de te débarrasser de moi. Il a paru surpris que tu ne sois plus avec ton anglaise. C’est vrai que tu étais avec une anglaise ? Tu ne nous as jamais parlé d’elle.
— C’est une histoire un peu compliquée, c’est une anglaise qui vit en Écosse et nous nous voyons assez rarement.
— Qu’est-ce qu’elle a de plus que moi ?
— Je ne sais pas, elle est étonnante.
— Et moi je ne t’étonne pas ?
— Oh si, de plus en plus, je ne te savais pas aussi bavarde.
— C’est l’amour qui me donne des ailes, parce que je suis amoureuse, moi, Monsieur.
— J’espère que ce n’est pas de mon copain.
— Qui sait ? C’est un homme charmant. Par contre, dommage pour lui, j’ai horreur des yeux bleus, je préfère les yeux de cochons comme les tiens.
De retour à la maison, Jessica se montre tout d’un coup très bavarde. Elle a envie de me raconter plein de choses, son enfance avec sa grand-mère, le fait qu’elle a très peu connu son père, le grand mystère qui entoure la naissance de sa sœur ; ce secret sa mère l’a emporté dans sa tombe. Et puis plein de petits détails qui l’ont touchée et qui sont, pour la plupart, antérieurs à son accident.
— C’est vrai, Colette a raison, depuis que je suis infirme, j’ai fait tout mon possible pour perdre tous mes amis. Ceux qui ne s’étaient pas détachés de moi à ...
... cause de mon handicap, j’ai fait tout ce que je pouvais pour les décourager. Et maintenant je suis seule et je me raccroche à toi comme une sangsue parce que tu es mon seul espoir. Et tu vas en avoir ras le bol et me trouver collante. Tu vois comme je suis nouille.
— Non, tu n’es pas nouille, tu es simplement malheureuse, un peu désespérée. Mais prends les choses du bon côté, aujourd’hui tu t’es fait de nouveaux amis. Encore quelques jours comme ça et tu connaîtras presque trop de monde.
— Des amis, c’est pas mal, mais moi je cherche surtout l’amour, l’amour avec un grand A, mais aussi l’amour physique. Au fait, quand est-ce que tu me baises ?
— Jessica !
— Il y a plein de gens qui font l’amour comme ça, juste pour se donner un peu de plaisir. Alors, pourquoi pas nous ? À cause de ton anglaise ? Je ne suis pas jalouse… Moi je me suis touchée, cette nuit, juste en pensant à toi.
— Mais tu étais ivre morte.
— Oh non, tout ce qu’il y a de plus lucide. J’avais envie que tu me caresses, je rêvais d’avoir tes mains partout sur moi. J’avais envie que tu me baises, que tu me baises très, très fort. Alors qu’est-ce que tu penses de tout ça ?
— Je pense que ce n’est pas très raisonnable.
— Pourquoi ? Caresse-moi, j’en ai envie de toi.
Elle prend alors ma main, la glisse sous son caraco et la pose délicatement sur sa poitrine. Ses seins sont chauds et veloutés. Mes doigts glissent lentement sur ses courbes délicieuses, s’insinuent dans son soutien-gorge. Elle enlève bientôt son ...