Une mégère apprivoisable
Datte: 02/11/2019,
Catégories:
fh,
handicap,
amour,
dispute,
Oral
préservati,
pénétratio,
amourcach,
Auteur: Ludovic Sante, Source: Revebebe
... top et retire son balconnet. Elle se retrouve torse nu, épanouie dans le salon. Son visage est radieux et exprime la malice.
Mes mains parcourent ses globes laiteux qui sont d’une beauté à faire pâlir. Mais elle en veut beaucoup plus, elle veut que je les presse. Elle me le fait comprendre en posant ses mains sur les miennes, en appuyant très fort.
Si l’envie d’arrêter là survenait, ce serait trop tard pour reculer, nous sommes déjà beaucoup trop loin, d’autant plus que Jessica pose maintenant ses doigts entre mes cuisses, qu’elle touche mon sexe déjà dressé. La proéminence de mon envie est gage pour elle d’un désir immense. Elle en semble satisfaite, elle joue avec ma colonne qui glisse entre ses doigts.
— Humm, je te fais de l’effet, apparemment… Si tu me montrais cette jolie queue.
Je dégrafe ma braguette et sors ma bite de mon boxer. Elle la saisit d’un geste et semble fascinée par cette longue colonne de chair. Ses doigts parcourent la hampe, elle l’effleure lentement, l’accompagne de tout son long, s’attarde sur le gland joufflu.
— Tu es beau, me dit-elle, je n’ai jamais vu une si belle bite, elle est longue et harmonieuse. Elle me donne l’eau à la bouche. Et pas qu’à la bouche d’ailleurs. Humm, si tu savais comme tu m’excites !
Elle me branle doucement, ses gestes sont amples et précis. Elle me masturbe comme ça un long moment avec tendresse.
— Viens, prends-moi… demande-t-elle enfin, au bout d’un long moment.
Elle dégrafe sa jupe, elle n’a ...
... pas de culotte, une épaisse toison fournie recouvre sa vulve. Elle s’allonge sur le divan tandis que je me déshabille.
— J’en ai acheté, tout à l’heure à la pharmacie, me dit-elle en désignant son sac à main.
C’est donc prémédité ! Le temps pour moi d’enfiler un préservatif, je viens sur elle et lui écarte doucement les cuisses. Puis je frotte mon gland longuement sur sa vulve nacrée, déjà luisante de son envie. Sa forêt est luxuriante, excitante en diable. C’est une brune de chez brune, ses poils sont d’un noir brillant d’une pureté absolue.
— Oh Ludo, tu m’excites trop, j’ai trop envie de toi, baise-moi fort, gémit-elle en caressant ses seins. Allez, viens, viens vite, je veux sentir ta queue en moi.
Je m’enfonce en elle, dans sa grotte, elle n’est pas très humide, j’apprendrai par la suite que certaines femmes handicapées ont du mal à lubrifier et c’est un peu son cas. Du coup je me pose quelques questions : « A-t-elle vraiment envie de moi ? » Mais elle m’attire franchement à elle, me fait comprendre que ce n’est vraiment pas grave, qu’elle a envie, qu’elle se sent bien.
— Vas-y, défonce-moi, j’aime ça.
Elle se pétrit les seins, elle me regarde avec des yeux embués d’amour. Elle me donne vraiment envie d’elle, je me penche sur elle pour l’embrasser, pour la caresser, puis je reprends mes va-et-vient et lui arrache quelques gémissements. Est-ce qu’elle triche, est-ce qu’elle ne triche pas, je ne sais jamais trop avec les femmes. J’aimerais tellement lui ...