1. Une mégère apprivoisable


    Datte: 02/11/2019, Catégories: fh, handicap, amour, dispute, Oral préservati, pénétratio, amourcach, Auteur: Ludovic Sante, Source: Revebebe

    ... sœur !
    — Il n’y a pas que les boîtes pour faire des rencontres. Tu es beaucoup trop casanière, tu restes tout le temps chez toi. Tu pourrais t’inscrire à un club, participer à des soirées.
    — Tu en vois beaucoup toi des handicapés dans les clubs ?
    — Et même en restant chez toi, tu pourrais dialoguer sur Internet, ce n’est pas bien compliqué, je suis sûr que tu t’y mettrais très vite. Je peux te donner des cours si tu veux.
    — Tout ça pour te débarrasser de moi !
    — Comment ça, pour me débarrasser de toi ?
    — Ben oui, mon petit ami, ça pourrait tout simplement être toi ! Tu ne t’es pas gêné tout à l’heure pour me mater avec tes yeux lubriques. Ça t’a plu de bien me reluquer !
    — Tu parles, il y avait du sang partout.
    — Mais oui, c’est cela, j’en avais très peu, de sang, sur la poitrine, et c’est là que tu m’as le plus regardée.
    — Forcément les garçons sont attirés par les seins des filles, c’est la nature qui veut ça.
    — Eh bien, puisqu’ils te plaisent, regarde-les, ne te gêne pas.
    
    Sur quoi elle ouvre la serviette pour me dévoiler sa poitrine nue.
    
    — Alors, qu’en penses-tu ? Tu les trouves à ton goût ?
    — Ils sont vraiment très beaux.
    — Pourquoi tu ne les embrasses pas ?
    — Arrête de jouer à ça, Jessica, on ne tombe pas amoureux comme ça.
    — Qui te parle de tomber amoureux, on pourrait juste faire l’amour pour le plaisir. Tirer un coup, comme vous dites, vous les mecs. Ça te plairait pas de baiser une petite handicapée ?
    — Jessica, arrête !
    — Comment fait-on ...
    ... quand on a très très envie de baiser ?
    — On en reparlera plus tard quand tu seras dégrisée.
    — Chiche… On en reparlera. J’ai beau être un peu pompette, mais je m’en souviendrai.
    — Tu veux manger quelque chose ?
    — Non, je n’ai pas faim. Je veux juste un bisou.
    
    Je me penche alors vers elle pour l’embrasser sur la joue.
    
    — Non, pas comme ça, un bisou sur la bouche. Juste un petit bisou, ça ne t’engage à rien. Je ne te demande pas d’y planter ta queue. Je te jure qu’après je te laisserai tranquille.
    
    Je consens, pour lui faire plaisir, à déposer mes lèvres sur les siennes. Elle ne réclame pas plus et en semble satisfaite. Elle s’enfonce lentement sous les draps pour essayer de dormir un peu.
    
    Je reviens dans la soirée, d’abord pour lui nettoyer à nouveau ses blessures qui ont un peu suinté et pour lui donner d’autres comprimés car elle a, à nouveau, très mal aux cheveux. Elle est entièrement nue dans son lit et c’est vrai que sa poitrine bien ronde a le don de m’exciter. Elle a de très jolis seins et d’une taille fort généreuse.
    
    Elle réclame à nouveau un bisou sur les lèvres avant de retourner gentiment sous sa couette.
    
    O-o-O-o-O
    
    Le lendemain matin, je téléphone au bureau pour leur dire que je ne viendrai pas. Je ne donne pas trop d’explication, je leur dis juste que je suis malade, que je me sens vaseux, que j’ai très mal au ventre. Devant la secrétaire, je fais un peu mon larmoyant : « Dommage de tomber ainsi malade juste avant mes vacances », histoire qu’elle ...
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