1. Je serai pendu demain matin


    Datte: 31/10/2019, Catégories: f, fh, couple, amour, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, Humour fantastiqu, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... eu l’occasion de connaître Jane de manière biblique bien avant ce mariage.
    
    Et, ce soir du 18 juin, j’accompagne les deux jeunes mariés dans la chambre nuptiale. Jane le sait, Robert ne le sait pas.
    
    Sitôt la porte de la chambre refermée, Jane se pend à son cou. Il est bien plus grand qu’elle. Il la prend alors dans ses bras pour doucement la coucher sur le lit, mais elle se relève et lutte avec les boutons de sa robe de mariée. Je sais son impatience ; Robert, s’en rendant compte, l’aide dans son travail. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Jane se retrouve juste vêtue d’un fin corsage, d’une jolie culotte en dentelle blanche et de bas, blancs également, suspendus à un porte-jarretelles.
    
    Elle s’attaque maintenant au costume d’officier de l’armée britannique de Robert, et peu après l’uniforme rejoint sur le sol la robe de mariée. Robert se retrouve entièrement nu, sa virilité déjà fièrement dressée, son souffle déjà court. Ses yeux ne peuvent se détacher du corps de sa toute nouvelle épouse, si érotiquement mis en valeur par la lingerie qu’elle porte.
    
    Je me glisse dans le dos de Jane. Si Robert ne peut me voir, Jane sent mon contact et mes caresses, et elle en frissonne. J’aime l’odeur d’excitation qui se dégage d’elle à ce moment.
    
    Dégrafant un à un les boutons de son corsage, Jane se dévoile lentement pour les yeux adorateurs de son mari. D’abord son cou qui se dégage, puis le galbe d’un sein qui se découvre, puis les deux. Enfin, avec le ...
    ... dernier bouton apparaît son joli nombril où je ne peux m’empêcher de darder ma langue (enfin, presque…). Son ventre se creuse sous la caresse et un nouveau frisson la parcourt des pieds à la tête.
    
    Rejetant les épaules en arrière, elle fait tomber son corsage sur le lit et pose crânement sous le regard enamouré de Robert. Répondant à cette invitation, il la prend à nouveau entre ses bras puissants et l’allonge sur les draps. Comme Jane a eu la bonne idée de porter sa culotte sur le porte-jarretelles et non dessous, il la délivre rapidement de ce dernier obstacle. Reculant, je le laisse à la manœuvre, d’autant plus qu’il me semble se débrouiller très bien d’après les gémissements qui sortent de la gorge de Jane.
    
    Ils sont très beaux, tous les deux, rendus magnifiques par l’amour qu’ils en sont vite devenus à éprouver l’un pour l’autre. Pas un instant elle ne quitte son époux du regard, parcourant tout son corps, mais s’attardant surtout sur ses yeux noirs et sur son sexe tendu. Elle est là, nue, totalement offerte à son conquérant, la respiration saccadée par le désir qui la submerge.
    
    Foin de préliminaires ! Il décide, en seigneur et maître qu’il est maintenant, de la prendre immédiatement. Venant la recouvrir, il tend les fesses et se retrouve d’un seul coup au plus profond de son intimité. Jane pousse un long soupir, émanation du plaisir absolu qu’elle éprouve à enfin se donner à un homme en tant qu’épouse légitime. Ses mains viennent se poser sur les fesses de Robert, ...
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