Je serai pendu demain matin
Datte: 31/10/2019,
Catégories:
f,
fh,
couple,
amour,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
Humour
fantastiqu,
Auteur: Pericles, Source: Revebebe
... entre son index et son majeur le capuchon de son petit bouton.
Puis enfin, elle glisse ses doigts sur sa fente, chaude et humide. Mmmhhhh… Dieu, que j’aimerais être avec elle ! Pouvoir effectuer tous ces gestes à sa place… Sa vulve est trempée. Sa main gauche, dont les doigts passent à travers sa toison, vient rejoindre la droite et caresse ses grandes lèvres toutes gonflées. Elle écarte encore plus les cuisses et entrouvre sa vulve pour plonger deux doigts de sa main droite dans son intimité. Elle est grande ouverte à présent.
Elle est tellement excitée que son plaisir monte très vite maintenant ; elle gémit doucement mais se retient un peu : elle sait que dans les longs couloirs du château, les sons portent loin… Pourtant, les vagues de chaleur dans son ventre s’accroissent et son bassin ondule sur le matelas de plume. Son orgasme n’est plus très loin, et enfin elle jouit, profondément, les cuisses impudiquement ouvertes, les doigts sur son clitoris gonflé, les seins pointant vers le plafond… d’où je ne rate absolument rien du spectacle délicieux que Jane vient de m’offrir.
Après quelques secondes, sa main retourne sur son clitoris et elle est soudainement emportée par une nouvelle jouissance. Et elle ne peut retenir un petit cri involontaire : « Oh, Thomas… C’est si bon ! Pourquoi n’es-tu plus là ? » Si je n’étais déjà décédé, cette petite phrase me ferait mourir une seconde fois. Je décide alors qu’à l’avenir j’éviterai sa chambre ou tout autre endroit où Jane ...
... se trouverait. La blessure dans mon âme est encore bien trop vive, et je préfère profiter comme je le peux de ma nouvelle situation plutôt que de souffrir.
* * *
Dans les mois qui suivent, je continue mon voyeurisme éducatif et, en parallèle, je m’exerce à avoir plus d’interactions avec mon environnement.
En me concentrant, j’arrive à "solidifier" l’air pour qu’il ait un impact physique sur les choses. Je ne suis pas sûr que vous compreniez – de toute façon, je ne comprends pas moi-même – mais de fait, je me réapproprie lentement mais sûrement mon cinquième sens. Et, facétieux comme je suis (il faut dire que je m’emmerde royalement), j’adore faire des blagues aux gens du château. Faire tomber des objets, bouger des tentures, éteindre les candélabres et les bougies, "marcher" sur la queue des chiens pour les faire aboyer, caresser les joues, les bras, les fesses des dames…
Enfin, formidable découverte, si je ne peux toujours pas me faire entendre, j’arrive à me faire lire ! En effet, passant par hasard dans la cuisine du château, je m’aperçois que je peux altérer la condensation produite par la chaleur de la cuisinière sur la surface métallique de la porte du cellier.
Aussitôt, je me précipite dans la chambre de ma bien-aimée, mais il me faut attendre de longues heures (vous me direz, je n’ai que ça à faire) avant qu’elle se décide enfin à se rendre dans le cabinet de toilette attenant à sa chambre pour s’y laver dans la grande baignoire que les servantes sont ...